Michel Polnareff et les dîners clandestins : le chanteur s’en mêle

Alors que l’affaire des dîners clandestins n’en finit plus de provoquer la polémique, Michel Polnareff a voulu ajouter son petit grain de sel. Sur les réseaux sociaux, le chanteur a tenté une blague afin de détendre l’atmosphère.

A propos de


  1. Michel Polnareff


  2. Pierre-Jean Chalençon

L’affaire des dîners clandestins continue d’être au coeur de toutes les discussions. Depuis la diffusion d’une enquête sur M6, Pierre-Jean Chalençon est accusé d’avoir organisé des dîners clandestins au Palais Vivienne à Paris, en présence, comme il l’a affirmé de nombreux invités, dont « plusieurs ministres« . Suite au tollé provoqué par ce reportage, l’antiquaire a nié en bloc ces accusations, « se disant victime d’un guet-apens, d’un coup monté ». Revenant sur ses propos, il évoque « un énorme poisson d’avril ».

Sur Instagram et Twitter, Michel Polnareff a souhaité détendre l’atmosphère et répondre avec humour à la polémique. En clin d’oeil à sa ressemblance physique avec Pierre-Jean Chalençon, il a publié une photo de lui et sa célèbre chevelure blonde ondulée avec ce commentaire : « Je n’ai pas organisé de repas clandestins ». Une blague qui n’a pas manqué de faire réagir ses fans. « C’est le plus gros poisson d’avril de ces 10-20 dernières années », « Michel t’es le best », « Beaucoup d’humour, c’est bien de dédramatiser » ont fait savoir plusieurs internautes.

https://www.instagram.com/p/CNVqCmPhX0u/

A post shared by Michel Polnareff (@michelpolnareff)

Une enquête pénale a été ouverte

Si l’affaire des dîners clandestins amuse certains, elle provoque des sueurs froides au sein du gouvernement. Selon Marlène Schiappa, Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, aurait reçu une invitation pour l’un de ces dîners, mais l’aurait refusée. A-t-il ou non dénoncé par la suite la tenue de ces rencontres illégales ? Un silence supposé, fustigé sur le plateau des Grandes Gueules sur RMC ce mercredi 7 avril. Une enquête pénale a été ouverte par le parquet de Paris pour mise en danger d’autrui et travail dissimulé. L’objectif étant de “vérifier si des soirées ont été organisées en méconnaissance des règles sanitaires et de déterminer quels en ont été les éventuels organisateurs et participants”. Les organisateurs de ces soirées sont passibles de lourdes sanctions : un an de prison et 15 000 euros d’amende.

Crédits photos : JLPPA / Bestimage

Autour de

Source: Lire L’Article Complet