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Le saviez-vous ? Georges Pernoud est de la famille d’une célèbre auteur
Décédé ce lundi 11 janvier, l’ex-présentateur de Thalassa, Georges Pernoud faisait partie de la même famille qu’une célèbre écrivaine de best-sellers.
A propos de
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Georges Pernoud
Dans la famille Pernoud, il n’y a pas que Georges de célèbre. Ce lundi 11 janvier, Georges Pernoud, qui avait créé et animé Thalassa sur France 3 pendant plus de 40 ans, est mort à l’âge de 73 ans, « des suites d’une longue maladie » a annoncé sa fille aînée dans un communiqué transmis à nos confrères de l’AFP. Georges Pernoud laisse donc derrière lui des milliers de téléspectateurs ainsi que sa femme Monique, ses deux filles, Fanny et Julie. Désormais, il a retrouvé au paradis l’une des membres célèbres de la famille Pernoud, Laurence Pernoud, une auteur décédée le 1er janvier 2009. Laurence Pernoud a été une écrivaine populaire de best-sellers, notamment axés sur la grossesse et l’éducation des enfants. Morte à l’âge de 90 ans, elle s’est fait notamment connaître avec deux livres écrits après ses grossesses : J’attends un enfant et J’élève un enfant.
Comme l’indique Femme actuelle, Laurence Pernoud est « née en 1918 à Lausanne, en Suisse, sous le nom de Laurence Secretan » et a changé « de patronyme après son mariage en 1953… avec Georges Pernoud, éditeur et rédacteur en chef de Paris Match à l’époque ». L’époux de Laurence Pernoud est donc en réalité l’oncle de Georges Pernoud, l’ex-présentateur de Thalassa décédé ce lundi 11 janvier. Il y avait donc deux Georges Pernoud dans la famille Pernoud.
« Ils m’ont transmis le virus de la curiosité. »
D’ailleurs, en 2015, à l’occasion d’une interview, Paris-Match indiquait à Georges Pernoud : « Votre père, Jean, était journaliste, votre oncle, Georges, éditeur, et sa femme, Laurence, écrivain, avec un best-seller demeuré célèbre, J’élève mon enfant. Gamin, vous étiez déjà dans le bain”. Le créateur de Thalassa, qui a été remplacé à la présentation de l’émission par la journaliste Fanny Agostini, avait alors répondu : « Ils m’ont transmis le virus de la curiosité. J’étais un élève médiocre, je ne risquais pas de devenir médecin. Un jour, j’ai dit à mon père que je voulais être journaliste, mais avec une caméra. »
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE
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