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Céline Dion : ses émouvantes confidences sur René Angélil cinq ans après sa mort
Le 14 janvier 2016, René Angélil, mari et père des enfants de Céline Dion, mourait d’un cancer. Une disparition brutale pour la chanteuse qui n’avait connu que lui. Plus de cinq ans après sa mort, elle est loin d’avoir tourné la page.
Céline Dion
René Angelil
C’est un pan de la vie de Céline Dion qui s’est écroulé le 14 janvier 2016. Après des années de lutte contre la maladie, son mari René Angélil, père de ses trois garçons René-Charles et les jumeaux Nelson et Eddy, mourait à l’âge de 73 ans. Un drame pour la chanteuse qui n’avait connu que lui. Manager de la star au départ, la relation professionnelle s’était progressivement transformée en véritable amour, au grand dam de la maman de Céline Dion qui ne voyait pas d’un bon œil la différence d’âge de René Angélil avec sa fille. Mais le temps a fait son œuvre. Travail, vie de famille, le couple partageait absolument tout depuis de longues années. Après la mort de René-Angélil, Céline Dion a donc dû réapprendre à vivre. Et elle a bien réussi malgré tous les efforts que cela lui a demandés : « Perdre mon mari, que mes enfants perdent leur père, c’était quelque chose. J’ai l’impression que René m’a tellement donné pendant toutes ces années, et il continue de le faire aujourd’hui », a-t-elle confié dans l’émission de télévision Today.
« Nous vivons toujours avec lui »
La présence de René Angélil auprès de Céline Dion empêche-t-elle la star de refaire sa vie ? Si elle a très souvent été vue en compagnie de Pepe Munoz, un charmant danseur, lors de fashion week par exemple, l’interprète de J’irai où tu iras ne s’imagine pas avoir une histoire avec un autre.
Malgré l’absence, la vie de Céline Dion avec René Angélil est toujours ancrée dans l’esprit de la chanteuse, particulièrement par le biais de leurs enfants : « Je vois mes enfants. Je les regarde – nous vivons avec lui. Nous vivons toujours avec lui, a-t-elle expliqué, toujours à Today. Il fait tous les jours partie de nos vies, donc je dois avouer que je me sens très, très forte ». Reste à savoir s’il y aura un jour une place pour un autre…
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