Voici l’aliment à intégrer à son alimentation pour rester mince après 50 ans

À partir de 50 ans, il est fréquent de prendre du poids. Mais les dérèglements liés à la ménopause ne sont pas immuables. Il existe des aliments à intégrer dans son alimentation pour rester svelte passé la cinquantaine.

Ce n’est un secret pour personne, après 50 ans, le corps change. C’est une question hormonale. Les œstrogènes et la progestérone, hormones féminines, chutent, par conséquent le métabolisme de base décroît lui aussi et le corps brûle spontanément moins de calories. En plus, proportionnellement, il y a davantage de testostérone, hormone masculine : on se met donc à stocker comme les hommes, au niveau du ventre, alors que jusque-là on stockait au niveau du bas du corps (hanches, cuisses, fesses). Et puis, celles qui souffrent de bouffées de chaleur dorment mal, or on sait l’importance du sommeil pour gérer son poids.

Mais contrairement aux idées reçues, il est possible de garder la ligne une fois passé la cinquantaine, bien que les changements hormonaux et le ralentissement du métabolisme rendent le tout un peu plus ardu. Le média Fourchette & Bikini a révélé le type d’aliment à consommer pour ne rien avoir à envier à notre silhouette d’antan.

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Consommer des protéines pour rester svelte

Après 50 ans on n’hésite pas à consommer des protéines pour garder la ligne. La viande, le poisson, les œufs et les légumineuses ne doivent pas être négligés. La protéine est l’un des nutriments les plus importants pour rester svelte. Pourquoi ? Car un apport élevé en protéines stimule le métabolisme, réduit l’appétit et modifie plusieurs hormones régulatrices du poids.

La protéine est un nutriment qui brûle des calories. On considère en effet que 30% de la valeur calorique d’une protéine n’est pas métabolisé par le corps. Mais comment est-ce possible ? Après avoir mangé, notre corps a besoin d’énergie pour digérer et métaboliser les micronutriments issus des aliments. C’est ce que l’on appelle l’effet thermique des aliments. Le métabolisme des glucides brûle environ 10% de calories, et celui des lipides 3%. Les protéines coûtent donc cher à l’organisme, qui brûle jusqu’à 30% des calories rien que pour les digérer. Dans les faits, si on ingère 100 calories issues des protéines, seulement 70% deviendront des calories utilisables.

De plus, les protéines apportent une sensation de satiété qui limite les fringales et les grignotages. Pourquoi ? Car lorsque nous consommons une plus grande quantité de protéines, le corps sécrète plus d’hormones rassasiantes comme la leptine, et moins d’hormones « qui donnent faim » comme la ghréline. Ces modifications hormonales induisent une réduction automatique et naturelle des apports caloriques.

Enfin l’apport en protéines aide à maintenir la masse musculaire et la solidité des os.

Crédits photos : JACOVIDES-MOREAU / BESTIMAGE

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Ventre plat : ces aliments à bannir pour dégonfler

Le chewing-gum, c’est un produit que l’on devrait penser à bannir définitivement de nos boîtes à bonbons ! Et surtout quand on souffre de ballonnements et de problèmes intestinaux. L’explication est très simple : quand on mâche une gomme, on avale de l’air (en faisant au passage tourner notre estomac à vide). Le tube digestif accumule donc de l’air inutilement, ce qui fait gonfler l’intestin, l’estomac, et donc le ventre. Tout ceci apporte au mieux des ballonnements, au pire des flatulences.

L’ail cru contient des composés soufrés tels que l’allicine, qui peuvent irriter la muqueuse de l’estomac et de l’intestin chez certaines personnes. Cette irritation peut provoquer des ballonnements, des flatulences et des douleurs abdominales. De plus, l’ail cru contient des FODMAP (Fermentable Oligosaccharides, Disaccharides, Monosaccharides, Polyols.), qui peuvent également causer des ballonnements chez les personnes ayant une sensibilité au FODMAP.

Il est bien connu que l’alcool ne rime pas avec ventre plat. Les boissons alcoolisées, et en particulier la bière en raison de sa teneur en gaz carbonique, peuvent également causer une rétention d’eau et par extension des ballonnements.

Sans surprise, les boissons gazeuses provoquent des gaz intestinaux. S’ils ne sont pas éliminés régulièrement, ces derniers risquent donc de créer des ballonnements. Notre experte déconseille d’arroser un repas déjà riche et copieux par de l’eau pétillante ou un soda pour éviter d’être ballonné.

De nombreux aliments crucifères, tels que le brocoli, le chou-fleur, le chou et les choux de Bruxelles contiennent des glucosinolates, des composés sulfurés qui peuvent être difficiles à digérer. Lorsque ces molécules atteignent le côlon, les bactéries intestinales les fermentent, produisant du gaz tel que le méthane et le dioxyde de carbone. Ces gaz peuvent causer des flatulences et des ballonnements. Les légumes crucifères contiennent également des fibres insolubles qui ne sont pas digérées dans l’intestin grêle, ce qui peut augmenter le volume des selles et aggraver les symptômes de ballonnement et de flatulence.

De manière générale, les fruits et légumes crus peuvent favoriser les ballonnements chez certaines personnes en raison de leur teneur élevée en fibres insolubles. Ces fibres ne sont pas facilement décomposées par l’organisme et peuvent rester dans le système digestif, ce qui peut entraîner une accumulation de gaz et de ballonnements. De plus, certains fruits et légumes crus contiennent des sucres naturels tels que le fructose, qui peuvent être difficiles à digérer pour certaines personnes et causer des ballonnements. En général, les aliments crus sont plus difficiles à digérer que les aliments cuits, ce qui peut également contribuer à des problèmes de digestion.

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