VIDEO Affaire conclue : un vendeur ment à Julien Cohen et se fait percer à jour
Ce mardi 4 mai dans Affaire conclue, un candidat a tenté de mentir à Julien Cohen. Mais c’était sans compter sur le regard aiguisé de l’acheteur, qui a tout de suite compris la vérité en inspectant son objet.
Julien Cohen
Pauvre Rémi : venu dans Affaire conclue pour vendre une affiche reproduisant une œuvre de l’artiste Keith Haring, il pensait en tirer un très bon prix. Réalisée en 1988 pour la promotion du New York City Ballet, la création avait toutefois ici été reproduite en tant que simple reprographie : il s’agissait donc d’une affiche produite en masse et non pas en série limitée. Patricia Casini-Vitalis, la commissaire-priseur de l’émission, n’a donc pu l’estimer qu’à 100 euros, uniquement « pour le côté extrêmement décoratif ». Un montant qui n’a pas satisfait le vendeur, bien décidé à en obtenir beaucoup plus en salle des ventes. Lorsqu’il s’est présenté face aux acheteurs, Rémi a eu droit à quelques questions sur son affiche. « Pourquoi vous la vendez ? », lui a d’abord demandé Alexandra Morel. « Je vais déménager et du coup on vide un peu l’appartement. On en a bien profité avec ma compagne et on a décidé de la vendre », a-t-il expliqué. « Vous ne l’aviez pas encadrée », a remarqué Caroline Margeridon. Rémi a confirmé que non, ce qui a nourri des suspicions : comment pouvait-elle être en si bon état, dans ce cas ?
Julien Cohen passe en mode Columbo dans Affaire conclue
L’affiche n’ayant aucun trou de punaise ni de trace de ruban adhésif, le jeune homme a assuré qu’il la faisait tenir chez lui « avec des pinces, un peu comme sur un chevalet avec derrière un panneau de bois ». Une version que Julien Cohen n’a pas vraiment crue. « Et vous l’avez achetée il y a longtemps ? », a-t-il demandé en s’approchant de l’objet. « Je l’ai achetée il y a deux ans », a répondu Rémi. « Et elle est restée deux ans accrochée chez vous ? », a insisté l’acheteur. Ce dernier était intrigué par des petits détails, comme le fait qu’elle se roule toute seule lorsqu’on enlevait une pince, ou l’absence totale de marques sur les côtés. « Je l’ai nettoyée, avant », a précisé Remi. « Tu laisses ça pendant deux ans chez toi, il y a une marque », a assuré Julien Cohen, de plus en plus méfiant.
« Sur les pinces, j’ai mis des… », a commencé Rémi. « Des moufles ? », l’a coupé Julien Cohen avec un sourire satisfait. Le jeune homme, gêné, a assuré qu’il avait mis des patins. « Des patins… Des patins sur les pinces… », a répété l’acheteur, absolument pas convaincu par cette version. Rémi a finalement tout avoué : « Alors ce n’est pas un argument de vente en ma faveur, mais pour être honnête, elle n’a pas trop plu à ma compagne. Donc c’est vrai qu’elle n’est pas restée longtemps exposée… » Julien Cohen a exulté : « Voilà ! Dites-moi la vérité, monsieur. » L’affiche a finalement été achetée à 120 euros par Diane Chatelet. Un peu cher, pour une reprographie trouvable à 70 euros sur Etsy…
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