VIDEO Affaire conclue : Sophie Davant se moque « d’un moment d’égarement » du commissaire-priseur Patricia Casini-Vitalis

C’est à une Patricia Casini-Vitalis quelque peu dissipée que l’une des vendeuses de ce 12 mai a eu affaire dans Affaire conclue, l’émission de France 2 chouchou des amateurs de vintage et de brocante. De quoi surprendre la vendeuse mais aussi l’animatrice Sophie Davant…

Sophie Davant

Catherine, secrétaire de 49 ans de la région parisienne, a pénétré en première sur le plateau de Affaire conclue ce mardi 12 mai. La candidate avait décidé de se séparer de la table de travail de son papa, ancien dessinateur industriel. La table d’architecte, géante, trop lourde n’a guère séduit Patricia Casini-Vitalis, qui a eu les plus grandes peines à la manipuler, et à en appréhender les mécanismes. Ceci a eu pour effet d’obliger l’animatrice de l’émission, Sophie Davant – qui avait déjà vu passer plusieurs modèles dans l’émission – à voler à son secours…

Sophie Davant très perturbée par Patricia Casini-Vitalis

Pendant cette estimation Patricia Casini-Vitalis semblait, il faut l’avouer, très distraite et fort mal à son aise ; lorsqu’elle s’est penchée sur l’équerre qui accompagnait la table, le commissaire-priseur a manqué de la faire tomber et a lancé : « Ouh, Ouhlala, alors je ne touche plus… » Sophie Davant surprise est intervenue « Qu’est-ce qu’il y a là-bas, qu’est ce qui vous arrive ?  » « Ça bouge énormément ça bouge dans tous les sens, regardez vous allez voir, c’est plein de contre-poids là…« , s’est affolée le commissaire-priseur qui a tenté de reprendre le fil de son estimation jusqu’à ce qu’elle découvre le nom de la marque de l’équerre : Sisi (prononcé Zizi).

De quoi perturber Patricia Casini-Vitalis qui a lancé hilare : « C’est la marque Sisi, elle est en bakélite, on ne pouvait pas la louper ! Alors c’est pas Zizi impératrice mais c’est Zizi quand même je suis désolée mais ce n’est pas de ma faute« . Sophie Davant, un peu consternée par le comportement inhabituel de son experte, s’est excusée devant la vendeuse : « Attendez mais, elle a des petits moments d’égarements comme ça... » Ce n’est qu’en entendant le prix que la vendeuse souhaitait tirer de son objet que Patricia Casini-Vitalis a finalement réussi à reprendre son sérieux. Y’a des jours comme ça !

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