« Songbird » donne des preuves d'amour en confinement
- « Songbird » plonge le spectateur dans le Los Angeles de 2024 où le Covid-19 aurait muté en Covid-23.
- Deux jeunes gens essayent de poursuivre leur relation dans une ville confinée et placée sous haute surveillance.
- Cette production de Michael Bay se révèle fort efficace pour mêler les ingrédients d’une histoire d’amour et d’un film catastrophe.
Les Américains surnomment ce type de films un « pandeflick » (film de pandémie). Songbird d’
Adam Mason est le premier long-métrage à avoir été tourné pendant le confinement à Los Angeles. Il est disponible en VOD et, dès ce vendredi, sur Amazon Prime. Les rapports entre un coursier et sa petite amie séparés par le confinement sont au centre d’une intrigue censée se dérouler en 2024 alors que le Covid a muté et est devenu incontrôlable.
K.J. Apa et
Sofia Carson font partager une relation dans un pays dévasté et sous haute surveillance. « Je me suis inspiré de ce que nous vivions pendant cette période en l’exagérant quelque peu. J’ai voulu créer une histoire d’amants séparés qui évoque celles de Roméo et Juliette et de Raiponce », confie le réalisateur au site américain
Screenrant. Le producteur
Michael Bay (Transformers) a sauté sur l’occasion de cofinancer ce film catastrophe où romance et suspense se taillent la part du lion au milieu de stars comme
Demi Moore, Paul Walter Hauser (Le Cas Richard Jewell),
Bradley Whitford et Peter Stormare.
S’aimer pendant la pandémie
Cela fait diantrement du bien de voir deux jeunes gens se battre pour sauver leur histoire d’amour dans un film bourré d’action et de suspense. Même si, fort heureusement, nous ne vivons pas des circonstances aussi dramatiques que celles des héros, on peut facilement s’identifier à eux. « Leur relation a vraiment été pensée par rapport aux obligations du confinement. Elle correspond à ce que je vivais dans ma vie privée pendant la pandémie », insiste le réalisateur. Ce film, bourré de grands sentiments et de séquences étonnantes dans un Los Angeles désert, ne révolutionne pas le cinéma, mais il se révèle un divertissement efficace dont on espère qu’il ne sera pas visionnaire.
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