"Rien à foutre", "nikoumouk" : ces mots que Bernard Montiel a mis dans la bouche d'Emmanuel Macron !
Ce 3 février, Bernard Montiel a débriefé l’interview d’Emmanuel Macron avec Cyril Hanouna, sur le plateau de TPMP. Et dans un contexte décontracté, il a pris quelques libertés !
« D’ici à la fin de l’été, nous aurons proposé à tous les Français adultes qui le souhaitent un vaccin. C’est exactement le même rythme, la même solution que nos voisins allemands et que nos autres voisins européens ». C’est la bonne nouvelle qu’a annoncé Emmanuel Macron aux Français ce 2 février, au cours du JT de 20h sur TF1. Le chef de l’État a pris la parole au cours d’une interview surprise, ce mardi soir. Et sur le plateau de Touche pas à mon poste, elle vient d’être décryptée par Bernard Montiel.
Bernard Montiel balance sur les coulisses de la dernière interview présidentielle
Ami du président et de son épouse, la première dame Brigitte Macron, l’ex animateur de « Vidéo Gag » a rapporté à son patron sur C8, ce 3 février, qu’il n’était pas au courant de cette prise d’antenne de dernière minute. Tout comme les membres du gouvernement. A en croire ses déclarations, Bernard Montiel assure en effet que « (Jean) Castex était en réunion, comme tous les mardis soirs, avec les ministres ». Et c’est là que Emmanuel Macron « a suivi son instinct » dit-il et a pris la décision de parler.
A l’issue d’une réunion sur les vaccins, le locataire de l’Elysée a (pour une fois) reçu de bonnes nouvelles, en pleine crise du Covid-19. Tandis que sa gestion de la pandémie fait l’objet de nombreuses critiques, il a saisi l’occasion qui se présentait de faire enfin une annonce positive au public. Lui qui en aurait assez d’être porteur de mauvaises nouvelles était « heureux » de « transmettre immédiatement » du bon.
« Il a eu envie de dire nikoumouk »
A propos de sa méthode d’action, Bernard Montiel a commenté dans un vocabulaire fleuri : « Il a cassé les codes. Il n’en a rien à foutre. Et puis surtout il en marre de ce carcan de l’administration : on est tous ballottés par des infos, des fausses infos, etc ». S’adressant à Cyril Hanouna, son chroniqueur a garanti : « Il a eu envie de dire ‘nikoumouk’, comme vous diriez, et de balancer ». Une analyse qui devrait faire sourire, dans les couloirs du Palais présidentiel.
Source: Lire L’Article Complet