Patron Incognito (M6) : les directeurs d'entreprise sont-ils rémunérés pour leur participation ?

M6 donne rendez-vous ce lundi 31 mai pour un nouvel épisode de Patron Incognito dès 21h05 sur M6. Mais au fait, les DG qui participent perçoivent-ils une rémunération ? La production nous répond.

Nouvel épisode inédit de Patron Incognito ce lundi 31 mai. Après avoir suivi Nicolas de Bronac, patron de l’enseigne de pressing écologique Sequoia, les téléspectateurs découvriront l’immersion de Jean-François et Laure Feuillette, à la tête d’un réseau de boulangeries et pâtisseries. Et c’est une première dans l’émission puisque le public assistera à une double immersion. A certains moments, ceux qui sont mari et femme dans la vraie vie devront faire semblant de ne pas se connaître. De quoi ajouter un peu de piment au programme. Peut-être vous êtes-vous déjà posé la question : les patrons qui participent à l’émission sont-ils payés ? Nous avons posé la question à Gary Aubert, producteur du programme.

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Un accord de collaboration signé !

« Ils ne sont pas rémunérés. Il n’y a pas de contrat à proprement parler. Nous signons un accord de collaboration. Cet accord de collaboration est nécessaire car il faut qu’on leur apporte la garantie qu’on est pas là pour couler leur boîte« , nous détaille le producteur. Il explique : « L’accord de collaboration se fait sur trois points. Le premier, c’est la confidentialité. On ne peut pas tourner dans une société où tout le monde aurait été prévenu en amont. L’idée n’est pas de communiquer sur l’émission. Ils ont interdiction de communiquer avant qu’on leur autorise.« 

Une garantie pour les directeurs d’entreprise

« Le troisième point, c’est qu’ils peuvent visionner l’épisode en amont« , ajoute le producteur. Mais attention, cela ne signifie pas que les DG participants ont tout les droits : « Visionner l’épisode en amont ne veut pas dire qu’ils ont le droit de couper ce qu’ils veulent. Ils peuvent vérifier que les propos qui ont été tenus correspondent à ce qui existe. Par exemple, des chiffres clés. Ils peuvent aussi vérifier si certains propos ne sont pas préjudiciables à leur entreprise et à leur image. Des termes qui pourraient être mal perçus par exemple« , précise Gary Aubert. Il ajoute que jusqu’à maintenant, après 9 ans, jamais aucun patron a demandé à couper une séquence.

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