Michel Sardou : ce conseil d’une star internationale qui l’a empêché de sombrer dans la drogue
Michel Sardou continue la promotion de son autobiographie Je ne suis pas mort, je dors. L’ex-chanteur de 74 ans s’est livré, sur le plateau de Quotidien, sur une rencontre avec une célébrité américaine qui l’a empêché de consommer de la drogue.
Michel Sardou
Michel Sardou était l’invité de Quotidien, mercredi 5 mai 2021. L’artiste de 74 ans a fait la promotion de son autobiographie, Je ne suis pas mort, je dors (Ed. XO). Yann Barthès a récité un extrait de cet ouvrage où le chanteur revient sur ses amitiés avec des célébrités. « J’ai rencontré de très grandes stars surtout lors d’un long séjour chez Elizabeth Taylor à Beverly Hills. Aucune ne m’a avoué avoir été heureuse« , a-t-il lu. Des propos confirmés par le principal intéressé : « Il y avait tout le monde. Tous les soirs il y avait une soirée énorme. Ça allait de Ray Charles à David Carradine, tous les chanteurs, tout ce qui avait des paillettes« . L’animateur, curieux, a demandé à l’artiste si « tout le monde buvait de l’eau« . La réponse de ce dernier se veut négative. Dans son livre, Michel Sardou décrit un monde composé d’alcool et de cocaïne qui était « dans les jars, et il fallait la moudre avec le moulin du café« . Dans un premier temps, l’époux de Anne-Marie Périer assure ne jamais avoir testé la substance.
Michel Sardou se souvient du précieux conseil de Ray Charles
Michel Sardou décide finalement de révéler une anecdote marquante sur son unique consommation : « Je n’en ai pas pris grâce à Ray Charles. J’ai voulu goûter quand même. Je me suis dit ‘quand même, je ne vais pas mourir con, il paraît que ça fait des trucs formidables' ». Après avoir « respiré une ligne« , celui-ci se pense seul et se met au piano. « Je jouais bien, il y avait des descentes harmoniques formidables et Ray Charles s’assoit à côté de moi« , explique-t-il en continuant son récit, lui demandant s’il était satisfait de sa composition musicale. L’interprète de Hit the Road Jack, moqueur, lui apprend qu’il n’a joué « qu’en ré mineur« , produisant un son étrange. Hilare, le célèbre pianiste américain lui donne alors un conseil fondateur : « Moi je me drogue parce qu’il me manque quelque chose, je suis aveugle mais vous, vous avez vos yeux, vos bras, votre bras, vous êtes normal. Ce qui risque de vous arriver c’est qu’elle vous prenne quelque chose« , s’est-il souvenu avec émotion. Et de conclure, pas peu fier : « Je vous promets que je n’ai plus jamais touché à quoi que ce soit« .
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