Les Grosses Têtes : Steevy Boulay lève le voile sur son salaire

Invité de L’instant de Luxe le 19 avril dernier, Steevy Boulay a révélé son salaire pour participer aux Grosses Têtes sur RTL. Et le montant varie selon les mois.

Il n’a jamais vraiment retrouvé l’anonymat après le Loft. En 2001, Steevy Boulay fait parti des candidats de la première saison de Loft Story sur TF1, qui contribuera à sa notoriété. Et pas des moindres, puisque quelques mois seulement après sa sortie de l’aventure, il est rapidement repéré et devient animateur télé, notamment sur M6, puis radio. Et ce au côté de Laurent Ruquier, qui l’intègre dès 2001 à sa bande dans On va s’gêner sur Europe 1. Un poste de chroniqueur que Steevy Boulay a tenu jusqu’en 2014, année de l’arrêt de l’émission, avant de rejoindre les Grosses Têtes sur RTL.

Une équipe qu’il n’a ensuite jamais quittée et où il officie toujours avec un salaire… de 1200 euros, comme il l’a révélé dans L’instant de Luxe sur Non Stop People, le 19 avril dernier. "Je gagne un peu plus de 1200 euros pour faire les Grosses têtes, mais ça dépend des mois. Parfois c’est la bulle parce que je ne travaille pas", a-t-il ainsi expliqué, ce qui est selon lui "juste de quoi payer [son] crédit de maison". "Cela me va juste pour vivre. C’est ma maman ou un ami qui m’aident quand ça ne va pas", a-t-il ainsi précisé, lui qui a eu recours à une opération de chirurgie pour corriger un complexe.

Steevy Boulay nouveau venu dans TPMP

En parallèle de sa carrière de chroniqueur radio, Steevy Boulay est brièvement revenu dans la téléréalité en 2011 pour participer à la première saison des Anges. Une expérience dont celui qui a récemment rejoint Cyril Hanouna dans TPMP ne garde pas forcément un bon souvenir. "J’ai eu du mal. Je me suis retrouvé au milieu de gens complètement cinglés. Ils voulaient faire du buzz pour faire du buzz. Je me disais : ‘Mais qu’est-ce-que je fous avec ces gens-là", avait-il confié en 2016, évoquant récemment les changements dans l’émission depuis son passage, notamment sur l’existence d’un "scénario" à suivre pour les candidats.

Source: Lire L’Article Complet