Les forces et faiblesses des finalistes de «Pékin Express» passées en revue

  • M6 diffuse mardi, dès 21 h 05, la finale de la saison 14 de Pékin Express.
  • Rose-Marie et Cinzia, les deux copines parisiennes, et Christophe et Claire, le duo père-fille, sont les deux binômes finalistes.
  • 20 Minutes fait le point, avec l’animateur Stéphane Rotenberg, sur les points forts et points faibles de chaque binôme.

L’heure de la finale a sonné pour la quatorzième saison de Pékin Express. Mardi, dès 21 h 05, sur
M6, les deux binômes encore en lice s’élanceront dans les rues d’
Istanbul (Turquie) d’abord pour tenter d’augmenter leur cagnotte aux dépens de leurs adversaires. Puis, pour un sprint final jusqu’au bout du suspense pour espérer empocher la somme amassée. A l’issue des demi-finales, Cinzia et Rose-Marie, les deux amies parisiennes, ont récolté 30.000 euros tandis que Christophe et Claire, le duo père-fille, ont glané 70.000 euros. Mais tout peut encore changer… En attendant de découvrir le résultat, passage en revue, avec l’animateur
Stéphane Rotenberg, des points forts et faiblesses de ces finalistes.

  • Cinzia et Rose-Marie

Le point fort : La cohésion. Elles sont amies mais s’appellent fréquemment « ma sœur » lorsqu’il s’agit de se soutenir et de se réconforter. Lorsque la pression est à son comble, elles savent trouver les bons mots pour s’encourager et quand l’une d’elles se trouve en difficulté, l’autre fait primer la bienveillance et l’indulgence sur l’agacement et le stress. C’est en partie grâce à cela qu’elles ont remporté trois immunités – le record de la saison – et deux des trois sprints lors de l’épisode des « intouchables ».

Le point faible : Le chronomètre. Les deux copines parisiennes ont tendance à perdre un temps conséquent lorsqu’elles sont en difficulté sur une épreuve. Au début du huitième épisode, par exemple, elles ont accumulé un certain retard en peinant à ingérer les testicules de moutons condition sine qua non pour poursuivre leur route. Dans le neuvième épisode, l’abandon de Rose-Marie à la tyrolienne les a condamnées à tirer une enveloppe potentiellement éliminatoire.

L’avis de Stéphane Rotenberg : « Rose-Marie et Cinzia, sont deux jeunes femmes intelligentes, physiquement inégales, mais elles ont une force mentale, une cohésion, un contact avec les gens, un charme redoutable. Elles ont été excellentes dans les épreuves d’immunité parce qu’elles ont une logique, une stratégie et elles gardent leur sang-froid. Je crois qu’elles ne se sont jamais engueulées, c’est une force énorme. Etre deux filles c’est un avantage pour faire du stop sauf quand il y a un couple en voiture parce que madame va toujours s’opposer (rires). Ce n’est pas si simple ! »

  • Christophe et Claire

Le point fort : La constance. S’il n’en a remporté qu’une seule, le binôme père-fille a participé à toutes les épreuves d’immunité. Il n’a été choisi qu’une seule fois pour un duel final – par Pierre-Louis et Arnaud – dont il a triomphé. Il n’est jamais arrivé en dernière position, hormis lors d’une épreuve de la demi-finale, et a remporté deux étapes traditionnelles, ainsi que deux des trois épreuves de la demie. Un palmarès impressionnant.
Le point faible : Un déséquilibre. Claire est à fond dans chaque épreuve tandis que Christophe se laisse parfois aller à la nonchalance. La première gagnerait à se mettre un peu moins la pression et le deuxième à se concentrer davantage lorsque l’enjeu l’exige. Son trou de mémoire quand Stéphane Rotenberg lui a demandé quel était le prénom de sa fille a par exemple eu des conséquences fâcheuses sur l’issue d’une épreuve d’immunité.
L’avis de Stéphane Rotenberg : « Claire est une vraie sportive, de très bon niveau. Elle connaît Pékin Express par cœur, toutes les saisons, elle est une vraie fan. Cette connaissance encyclopédique, ça aide. Christophe aime bien jouer, parfois par stratégie, le rôle du boulet mais est loin d’en être un. On l’a vu dans les épreuves d’immunité où il était excellent. Il a 60 ans, c’est la première fois qu’on a un sexagénaire en finale. C’est une performance dont on a peu parlé. Il dépend de sa fille, il la laisse faire pour le stop, mais il sait s’économiser et, lorsqu’il faut y aller, il envoie. »

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