Joséphine Berry (Clem) : "J’ai essayé de rester la plus fidèle possible à qui est Salomé"
Dans la saison 11 de Clem, diffusée sur TF1, lundi 3 mai à 21h05, elle incarne une Salomé en proie aux doutes face à l’évolution de sa relation avec Achille. Joséphine Berry, la fille de Richard, évoque son intrigue. Pas question pour elle de parler de l’affaire qui touche son père.
Télé Star : Comment décririez-vous l’état d’esprit de Salomé dans cette nouvelle saison ?
JOSÉPHINE BERRY : Elle est amoureuse d’Achille (Rémi Pédevilla, ndlr). Mais il y a une sorte d’incompréhension entre eux car Salomé est dépassée par les attentes que génère ce couple. Pour elle, il n’y a pas forcément besoin d’un mariage pour prouver ce qu’ils ressentent. C’est un peu comme s’ils avaient été pris à leur propre jeu…
Pensez-vous que le précédent millésime de Clem avait un ton trop dramatique ?
Oui, il était très lourd mais je trouve génial de pouvoir aborder ce type de sujets. Là, effectivement, on retrouve de la fraîcheur et de la douceur.
Souhaiteriez-vous que Salomé soit plus insouciante ?
C’est vrai qu’elle est très sérieuse. En revanche, elle n’est pas noire. Et puis, si tous les personnages de Clem étaient drôles, ça ne fonctionnerait pas. Il faut qu’il y ait un équilibre. Et il peut lui arriver, malgré elle, de se retrouver dans des situations comiques ou de sortir des rails.
Vous êtes la troisième actrice à camper Salomé. Avez-vous craint au départ de déstabiliser les téléspectateurs ?
Pas sur le côté physique car je ressemble pas mal à Léa Lopez. Il était logique par rapport à la time-lapse de la série qu’il y ait un changement d’actrice. Mais j’avais quand même une appréhension. Alors, j’ai essayé de rester la plus fidèle possible à qui est Salomé. Je me suis appuyée sur ses dix ans dans Clem et j’ai écrit un background autour de ça. Et j’ai été très bien accueillie par le public.
Avant le second confinement, vous étiez sur les planches dans Le Cercle des illusionnistes…
On reprendra la pièce dès que possible. J’aime beaucoup le théâtre car vous n’avez pas le droit de vous rater. Vous devez donner et recevoir en même temps. C’est pour cela qu’on est si vulnérable quand on est sur scène…
Vous vous lancez dans une aventure qui n’a rien à avoir avec vos activités artistiques.
Oui, on m’a proposé de participer à la création d’une cuvée avec Maxime-Saint Martin. L’idée, c’était de rendre le bordeaux plus accessible. J’ai toujours été intéressée par ça car dans ma famille, on a la culture du bon vin.
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