"J'ai eu peur !" : terrifié par Philippe de Villiers, Pascal Praud tente de s'enfuir en direct !

Ce 18 mai, les téléspectateurs de CNews ont assisté à une scène loufoque dans « L’heure des pros », en présence de Philippe de Villiers, Pascal Praud et Laurent Gerra !

Ce 18 mai sur CNews, Pascal Praud recevait l’humoriste Laurent Gerra, pendant la deuxième partie de son émission « L’heure des pros« . Et un vent de bonne humeur a soufflé sur le plateau – l’animateur enchaînant les blagues, en s’offrant même le concours de Philippe de Villiers et Laurent Joffrin !

« Très mal installé » en duplex, dans la salle de rédaction, ce dernier journaliste a été obligé de laisser sa place en plateau aux invités du jour. Avec humour, il a regretté qu’on l’ait ainsi censuré et mis à l’écart, alors que se lançait  un débat sur la satire en politique autour de la table.

A propos des caricatures faites par les imitateurs, le fondateur du Puy du Fou a de son côté estimé : « L’humour et l’auto dérision c’est vraiment une hygiène de vie très importante ». C’est pourquoi il a d’ailleurs avoué à Laurent Gerra : « Je l’écoute le matin et il y va fort, et je me marre, je trouve ça formidable« . Et ce n’est pas tout à fait la même chose que ce que faisaient les Guignols de l’info, en leurs temps, a aussi taclé Philippe de Villiers.

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Concernant les marionnettes de Canal +, qui l’ont « détruit », il a en effet accusé : « les Guignols c’est tout à fait différent, c’est idéologique. C’est du militantisme idéologique qui cherche à détruire. C’est justement l’humour du camp du bien. Et donc le camp du bien cherche le mal, et là, moi j’étais le mal absolu ». Et le ton de l’homme politique était si sombre et grave… qu’il a littéralement fichu la trouille à Pascal Praud !

L’animateur s’est alors fait tout petit dans son fauteuil, et a commenté : « En même temps, quand il parle, moi ça me fait peur. Je vais essayer de partir. J’ai eu peur ! Vous avez vu comment il m’a regardé ? Non mais attendez, heureusement que la révolution est passée par là, parce qu’autrement, je suis un type du tiers état, je me retrouvais… »

F.A

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