“Il se comporte en idiot utile de l’islamisme” : Eric Naulleau flingue Gilles Verdez qui accuse Evian d’islamophobie (VIDEO)
Le tweet d’Evian posté le premier jour du Ramadan a provoqué un vif débat dans « Touche pas à mon poste » ce mercredi 14 avril.
Mauvais timing pour Evian qui a tweeté « Retweetez si vous avez déjà bu 1 litre aujourd’hui » ce mardi 13 avril, premier jour du Ramadan. Quelques internautes n’ont pas apprécié le message, persuadés qu’il s’agissait d’une provocation. Soucieuse de ne blesser personne, la marque a présenté ses excuses, ce qui a déclenché une polémique bien plus importante. De nombreux musulmans ont toutefois répondu à Evian sur Twitter en affirmant qu’ils n’étaient pas choqués par leur message, certains précisant même qu’ils avaient en effet bu un litre d’eau à 4h30 du matin. « Dans les pays à majorité musulmane, on a des pubs pour nourriture et eau tout le temps en période de Ramadan. Les émissions culinaire sont les plus regardées. Ça ne nous dérange pas du tout, votre tweet« , a ajouté une internaute.
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Ces tweets ont fait l’objet d’un débat dans Touche pas à mon poste sur C8 ce mercredi 14 avril, et Gilles Verdez n’y est pas allé de main morte : « Ce qu’a fait Evian est scandaleux. La communication d’Evian, pour moi c’est de l’islamophobie commerciale ». Des paroles qui ont exaspéré Eric Naulleau : « Il se comporte en idiot utile de l’islamisme. Verdez aggrave le sentiment de persécution des musulmans. (…) C’est déjà assez tendu en ce moment, il y a des polémiques régulières, parfois sur des bases réelles. Là, c’est une base complètement imaginaire, et il y a des gens qui vont le prendre au sérieux. Tu as une responsabilité énorme quand tu sors des énormités pareilles ! Tu concoures à la discorde nationale, et même, un jour, à la guerre civile !« .
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Le chroniqueur polémiste a alors refusé le qualificatif utilisé par son collègue: « Ne liez pas mon nom à islamiste. (…) Ne me traitez pas d’islamiste, vous ne pouvez pas ! Retirez ça ! Vous ne pouvez pas dire ça ! On peut être en désaccord, mais ça, non !«
Hugo Mallais
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