Faustine Bollaert "en colère" : viol, consentement… cette prise de parole qui lui tient à coeur

Ce lundi 22 mai, Faustine Bollaert était aux commandes d’un nouveau numéro de Ça commence aujourd’hui. L’animatrice a eu une prise de parole cruciale. Explications.

Une prise de parole cruciale. Douce, apaisante, bienveillante, à l’écoute… Ce sont des adjectifs qui collent à la peau de Faustine Bollaert dans Ça commence aujourd’hui. Mais ce lundi 22 mai, l’animatrice de France 2 a tenu à intervenir dans le récit de l’une de ses convives afin de "prononcer les mots justes", comme elle l’a dévoilé sur son compte Instagram. Son émission s’intéressait alors à des femmes qui "très jeunes, ont eu une liaison avec une star". Sauf que pour Christine, il s’agissait plutôt d’une relation d’emprise. Toute jeune femme, elle a subi les manipulations de Claude François, créant en elle une dépendance affective pour la star pendant six ans – de manière plus ou moins régulière. Sauf que dès les premières minutes de leur rencontre, Christine a souhaité s’en échapper et ne voulait pas le revoir. "Ça n’a pas été une relation voulue", a-t-elle expliqué.

Et pour cause, Claude François, qui était le premier homme avec lequel elle couchait, n’a pas eu son consentement. Pourtant, elle refuse d’employer le mot viol par peur de ne pas être crue. De quoi chambouler Faustine Bollaert qui n’a pu rester de marbre face à de telles confidences. "Moi je vous crois. Je vous crois de tout mon cœur !", a-t-elle assuré. Surtout, la compagne de Maxime Chattam a tenu à mettre les points sur les i. "On reçoit beaucoup de jeunes femmes sur ce plateau qui viennent nous raconter ce que vous venez de nous dire : ‘Je n’ai pas pu être violée parce que je n’ai pas crié. Parce que je n’ai pas dit non. Parce que lui, un homme aussi bien, ne peut pas avoir commis ça‘. Nous, sur ce plateau, avec Natacha [Espié, une des psychologue experte de l’émission, ndlr], nous avons de cesse de regarder nos invitées et de dire : ‘Si vous n’avez pas donné votre consentement, vous avez été violée’", a-t-elle rappelé. Et ce, peu importe le nom ou la fonction de la personne qui commet ce crime.

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