Enora Malagré balance sur l'évolution de TPMP : "Les gens ont besoin d'un peu plus de fond"

Enora Malagré s’est montrée tranchante en jugeant sèchement la nouvelle ligne éditoriale de TPMP .

Un départ qui avait fait du bruit. Juin 2017, après sept saisons passées en tant que chroniqueuse dans « Touche pas à mon poste », Enora Malagré avait choisi de quitter l’émission phare de C8. Dans un entretien accordé à PureMédias, la chroniqueuse au fort tempérament s’état expliquée sans détour. « Cela faisait un moment que je ne me sentais plus à ma place dans l’émission, que je ne la trouvais plus. J’avais déjà donné plusieurs signaux d’alerte pendant la saison. J’ai changé, l’émission a changé, Cyril a changé. On a tous évolué, pas forcément sur le même rythme, on ne parlait plus trop la même langue » avait-elle justifié.

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Près de quatre ans après, l’émission continue sa route et force est de constater que les audiences sont toujours au rendez-vous. Le personnage très clivant d’Enora n’a pas toujours pas été remplaçant dans la bande de TPMP. Lors d’un échange sur la chaîne Twitch de Thierry Moreau, autre ex chroniqueur emblématique de l’émission, celle qui s’est reconvertie dans la comédie sur les planches de théâtre est revenue sur l’émission qui lui a conféré une importante notoriété. Dans un premier temps, elle a reconnu ne plus vraiment regarder le programme. « C’est un horaire maintenant qui ne correspond plus tellement à un horaire où je me pose devant la télévision. Je ne regarde plus trop la télévision de manière générale » a-t-elle concédé.

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Enora Malagré a toutefois reconnu que la tournure prise par l’émission ces dernières années n’était pas de son goût. « C’est vrai que ces derniers temps, le peu où j’avais regardé, je n’accrochais pas, c’est trop éloigné de ce qu’on faisait, trop à la recherche du buzz. La gaudriole ça va, mais les gens ont besoin d’un peu plus de fond« . Et pour conclure, elle y est allée de son tacle à l’égard de certains chroniqueurs dont l’expression laisse à désirer à son goût. « Il y en a, il faudrait qu’ils apprennent à ouvrir au moins un Bescherelle. » a-t-elle estimé, se préservant toutefois de balancer un nom.

L.T

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