Élodie Gossuin : ce super cadeau que lui font ses enfants à chaque Fête des mères
Animatrice sur RFM et sur 6ter où elle présente Vive le camping jeudi 3 juin à 21 h 05, Élodie Gossuin est aussi une maman très présente pour Jules, Rose, Léonard et Joséphine. Confidences à l’approche de la fête des Mères.
Sur 6ter, vous présentez Vive le camping. Êtes-vous une férue de ce type de vacances ?
ÉLODIE GOSSUIN : Oui, j’adore et je ne le dis pas pour défendre le magazine que je présente ! Ce sont mes meilleurs souvenirs de vacances d’enfance. Je suis quasiment toujours partie en camping avec mes parents. Cela représentait, notamment, la liberté. Et je l’ai très vite fait découvrir à mes enfants. C’est un cadre privilégié pour qu’ils se créent des souvenirs magiques, se fassent des amis, s’essaient à de nouvelles activités.
Le 30 mai, célébrerez-vous la fête des Mères ou, au contraire, est-ce une journée comme les autres ?
Non, elle est forcément différente. Au travers du regard des enfants, on se sent comme une reine. Ils ont envie de me montrer l’amour qu’ils me portent à travers des fabrications maison ou de petites attentions comme m’apporter le petit-déjeuner au lit, m’écrire un poème, etc. Ils font l’effort de me préserver : pas de lessive, pas de vaisselle, pas de ménage… Ils s’autogèrent avec l’aide de leur papa. Rien que pour cela, il faudrait instaurer la fête des Mères quatre fois par an. (Rires.) Et moi aussi, je continue de célébrer ma mère ce jour-là.
Depuis que vous êtes maman, y a-t-il une fête des Mères qui vous a particulièrement marquée ?
Certainement la première où ils ont eu conscience de fabriquer quelque chose eux-mêmes : les premiers cadeaux réalisés à la maternelle, le premier poème qu’ils étaient fiers de me réciter. Ainsi que la première fois où j’ai eu une quadruple fête des Mères. C’est à ce moment-là que j’ai pris conscience que ma plus belle réussite était mes quatre enfants, que j’ai de la chance qu’ils soient les miens. Ça peut paraître un peu idiot mais c’est très émouvant…
Jules et Rose, 13 ans, sont désormais des préadolescents. Cette nouvelle étape de leur vie vous inquiète-t-elle ?
Leur personnalité s’affirme, tout comme leur soif d’indépendance. Ils veulent faire de nouvelles expériences, sans leurs parents. Même entre eux, les liens gémellaires évoluent. Mais je parle tout le temps avec eux, il n’y a pas de crises ou de disputes. J’ai besoin qu’ils se confient à moi. Je les encourage à affirmer leur caractère. J’essaie de m’adapter à eux en fonction de ce dont ils ont besoin. On a d’autres sujets de conversation, on parle de tout, plus librement, de façon plus crue. C’est génial parce que c’est aussi notre relation qui se construit.
Jamais sans mon enfant
Difficile de couper le cordon. Si bien que de plus en plus de personnalités travaillent main dans la main avec leur progéniture. Preuve en est : Valérie Damidot a signé une bande dessinée intitulée La Terrible Époque des sous-pulls acrylique avec sa fille, Roxane, qui s’est chargée d’illustrer les souvenirs de jeunesse de sa mère. Précédemment, mère et fille s’étaient donné la réplique dans la série de M6, Victoire Bonnot. «J’adore travailler avec les gens que j’aime, en famille», s’enthousiasme auprès du Parisien la principale intéressée, qui a également joué aux côtés de son fils, Norman.
Nathalie Baye et Laura Smet ou encore Catherine Deneuve et Chiara Mastroianni ont également partagé l’affiche en famille. Ludivine Sagnier, aussi, vient de tenter cette expérience avec son aînée, Bonnie. « J’ai été bluffée. C’est une très bonne partenaire de jeu. Elle est meilleure que moi à son âge. Elle crève l’écran», a-t-elle confié à Marie Claire. Laetitia Hugues a, quant à elle, poussé sa mère, Laurence Ferrari, à lui parler du suicide de sa grand-mère au cours d’un film qu’elle a elle-même réalisé. Et c’est lors de campagnes publicitaires qu’Estelle Lefébure, Sonia Rolland ou encore Sandrine Quétier ont immortalisé leur complicité avec leurs filles respectives. Inséparables, on vous dit.
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