Clémentine Célarié : cette grande décision qu’elle a prise pour ne plus être "enrobée"

Un an après la diffusion d’un épisode de Police de caractères, Clémentine Célarié est de retour dans ce rôle qu’elle adore. L’occasion pour la comédienne de se confier sur sa carrière et son rapport à son corps.

Louise Poquelin est de retour ! En février 2020, France 3 avait diffusé Police de caractères, un téléfilm où Clémentine Célarié donnait la réplique à Joffrey Platel, Mariama Gueye ou encore Jules Houplain. Un an après, la chaîne diffusera samedi 21 février prochain la suite de cet unitaire qui avait séduit les téléspectateurs. Une joie pour la comédienne, qui aime ce "rôle qui dépasse les bornes", comme elle le confie dans les colonnes de Télé Star, en kiosques ce lundi 22 février : "C’est ça que j’aime, surtout une femme de sa génération. Y’en a marre de ce tabou : si on n’assume pas son âge, comment peut-on revendiquer sa liberté ?" A 63 ans, Clémentine Célarié est bien dans ses baskets et dans sa soixantaine. Bien plus épanouie qu’il y a quelques années quand elle était "plus enrobée". "C’était tellement emmerdant que ça a entravé ma liberté", se souvient-elle.

"Donc je me suis obligée à une rigueur implacable, comme un pacte passé avec moi-même, raconte l’actrice dans nos colonnes. Le centre de tout cela, c’est la passion amoureuse que je nourris pour tout ce que je fais. Quand j’entends qu’il ne faut jamais s’emballer : quelle connerie ! Si on ne s’emballe pas, c’est la vie qui le fera : entre quatre planches, ça s’appelle un cercueil !" Clémentine Célarié s’emballe en tout cas pour Police de caractères : post mortem. Dans ce nouveau téléfilm, les téléspectateurs vont suivre l’enquête sur un meurtre déguisé en suicide qui… est en réalité un suicide déguisé en meurtre, dans un lycée hôtelier de la banlieue lilloise. Un synopsis encore une fois étonnant, qui promet de passionner les téléspectateurs de France 3. Et de ravir la comédienne, attristée par la période.

Clémentine Célarié lance un appel au gouvernement

Sur l’antenne de BFMTV il y a quelques semaines, elle s’était vivement énervée contre la décision de fermer les lieux culturels, et notamment les théâtres, où elle jouait encore il n’y a pas longtemps. "On a plus que tout besoin de se réunir vers la beauté (…) Les théâtres n’ont jamais été des zones dangereuses de propagation du virus, jamais ! Ni les cinémas ! Pourquoi nous traiter ainsi ?", s’est-elle interrogée, estimant qu’il s’agissait d’"un manque de respect" pour tous les artistes et les personnes qui travaillent dans ce secteur. Clémentine Célarié lançait alors un appel au gouvernement : "Libérez les théâtres et les salles ! C’est bien plus policé que dans les grands supermarchés où les gens sont agglutinés, où dans le métro, où les gens vont travailler le matin et reviennent le soir, et sont les uns sur les autres ! C’est absurde".

Interview à retrouver en intégralité dans votre magazine Télé Star en kiosque et en version numérique ce lundi 22 février

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