Camille Lou: «Je rêve d’avoir des enfants»
À l’image de Game of Thrones ou Friends, This is Us fait partie des chefs-d’œuvre qu’un sériephile doit à tout prix regarder dans sa vie, au risque de passer pour un extraterrestre lors des conversations à la machine à café. Nommée dans la catégorie «meilleure série dramatique» aux Golden Globes 2017, cette fiction fait aujourd’hui encore les beaux jours de la chaîne NBC aux États-Unis, rassemblant entre 7 et 11 millions de téléspectateurs en moyenne. En France, TF1 a choisi de surfer sur ce succès avec une adaptation réussie baptisée Je te promets. Ce lundi 8 février, la chaîne dégaine deux nouveaux épisodes en première partie de soirée. «Je ne dirais pas que c’est un copier-coller de la version américaine. L’ancrage français est tellement bien fait!», confie Camille Lou, précisant qu’elle n’a pas regardé This is Us, pour éviter de s’en inspirer.
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Dans Je te promets, l’une des têtes d’affiche du Bazar de la charité se glisse dans la peau d’une maman qui, avec son époux, joué par Hugo Becker, attend des triplés. Malheureusement, l’accouchement prend une tournure dramatique: l’un des bébés perd la vie. À la maternité, les parents croisent le regard d’un enfant qui a été abandonné dans les toilettes publiques par son père biologique, et décident de l’adopter. La fiction aborde avec tact, sur deux époques, plusieurs sujets de société, dont la question de la charge mentale pesant sur les épaules d’une mère. «Mon personnage est une femme forte qui va se battre. Mais je ne cherche pas à être féministe, même si je pense l’être malgré moi. […] Personnellement, je rêve d’avoir des enfants, je suis née pour en avoir, j’ai hâte!», confie la comédienne.
Sur le plateau du «Buzz TV», Camille Lou, que le grand public a découverte dans la comédie musicale 1789 – Les Amants de la Bastille, en a profité pour expliquer les raisons qui l’ont poussée à prendre un pseudonyme. «Quand j’étais adolescente, on se moquait beaucoup de mon nom de famille, Houssière. On disait tout le temps poussière… L’école n’a pas été une grande partie de plaisir pour moi. Le harcèlement scolaire a fait partie de ma vie. Aujourd’hui, je regrette presque, car c’est presque leur donner raison», estime Camille Lou, qui planche actuellement sur trois nouvelles fictions.
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