Anne Sinclair invitée dans Sept à huit : ce moment de l’émission qui lui a « serré le ventre »

Dimanche 30 mai, Anne Sinclair était l’invitée de Sept à huit sur TF1. La journaliste et ancienne compagne de Dominique Strauss-Kahn a connu un moment très émouvant après la diffusion d’un générique mythique.

Anne Sinclair

Dominique Strauss-Kahn

Mercredi prochain sortira Passé composé, autobiographie d’Anne Sinclair aux éditions Grasset. La journaliste y évoque pour la première fois l’affaire DSK, historique scandale qui avait bouleversé l’opinion française. Son ex-mari Dominique Strauss-Kahn, alors très bien placé dans les sondages pour l’élection présidentielle de 2012, est accusé de viol aux Etats-Unis par Nafissatou Diallo. Anne Sinclair a reconnu pour la première fois avoir été « dans le déni » face aux accusations visant son mari, qu’elle a défendu bec et ongles durant son procès. Mais si de nombreux Français se rappellent d’elle pour son rôle dans cette sordide affaire, d’autres se souviennent qu’Anne Sinclair est avant tout une grande journaliste.

« Le réflexe de Pavlov »

Dans les années 80, elle acquiert une notoriété nationale grâce à son rôle d’animatrice de l’émission 7 sur 7 sur TF1, dont elle tient les rênes durant 13 ans. Une époque dont elle est visiblement encore très nostalgique : invitée de Sept à Huit ce dimanche, la journaliste a connu un grand moment d’émotion lorsque la production lui a diffusé le générique de 7 sur 7. Grand sourire aux lèvres, Anne Sinclair s’adresse à son intervieweuse : « Vous voyez, c’est le réflexe de Pavlov, ça continue de me faire serrer l’estomac, et quand j’ai arrêté cette émission il y a plus de 20 ans, pendant quelques temps j’avais le sentiment à 18h d’avoir oublié d’aller au studio, cette musique contribue à me serrer le ventre comme si j’allais aller à l’antenne » lance-t-elle dans un grand éclat de rire. Il faut dire que la journaliste était particulièrement anxieuse de prendre l’antenne à l’époque : « Oui j’avais le trac, avant que l’émission ne commence et puis une fois qu’on a l’impression que les rênes répondent comme si on tenait une carriole, on se détend et on se laisse prendre et surtout écouter » raconte-t-elle. Un sentiment que partagent sans doute nombre de grands animateurs du petit écran.

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