3 choses à retenir du défilé Dior printemps-été 2024

La maison Dior a présenté ce mardi 26 septembre sa collection printemps-été 2024. Découvrez ce qu’il ne fallait pas manquer de ce show incontournable de la semaine de la mode.

Le coup d’envoi de la Fashion Week parisienne est lancé. Ce mardi 26 septembre, tous les regards étaient tournés vers le défilé de la maison Dior pour découvrir la collection printemps-été 2024 de Maria Grazia Chiuri. Esprit féministe, accessoires ultra-désirables, premier rang étoilé… Voici les 3 choses à retenir du défilé.

Une scénographie qui donne le ton

Pour dévoiler sa collection printemps-été 2024, Maria Grazia Chiuri a choisi Les Tuileries à Paris. À l’intérieur d’une immense tente dressée à l’entrée principale du jardin, les murs sont couverts d’écrans jaunes et roses fluo, une scénographie pop qui fait écho à l’œuvre NOT HER, le projet d’Elena Bellantoni qui refuse de cantonner les femmes dans des catégories. Avec cette installation vidéo, les messages puissants et les figures féminines retravaillées par l’artiste se succèdent. « Je ne crois en personne d’autre, je m’adresse toujours à moi », « La libération des corps n’est pas commercial » ou encore « Ce n’est pas elle, elle n’est plus tout ça », peut-on lire. Fidèle à son ADN, la directrice artistique des lignes féminines de la maison Dior s’empare de la mode pour porter la voix des femmes. Un engagement qui se retrouve dans chacun des vêtements de sa ligne estivale.

Des vêtements et des accessoires easy to wear

Maria Grazia Chiuri présente un vestiaire intrigant pour une collection estivale, inspiré de l’univers des sorcières, à la fois sombre, confortable et élégant, teinté de pièces fortes et architecturales dont certaines affichent des découpes et des finitions effilochées inattendues. Les nuances sont sobres et justes : du beige, du noir, du gris. Inutile d’en faire trop. Les mannequins s’emboitent le pas coiffés d’un chignon mouillé le teint à peine maquillé, la beauté est brute et sans artifice. La maille douce et enveloppante tient une place prépondérante. Des jeux de transparences subliment les courbes avec légèreté. A travers le tissus évanescent, on devine des culottes taille hautes, féminines et gracieuses. Le jupon, pièce maitresse de l’univers Dior fait quelques apparitions, paré du motif floral signature ou volanté. Les silhouettes sont amples et aériennes. La chemise blanche masculine est repensée, déstructurée, laissant apparaitre une épaule nue, expression d’une sensualité assumée. La directrice artistique fait également la part belle aux accessoires. Les souliers plats, ballerines, mocassins babouche, bottes ou kitten Hills offrent une démarche fluide et efficace. Côté sacs, le seau fait son retour et se porte avec nonchalance à l’épaule orné d’une lanière dorée, mais le cabas ne perd rien de son aura. Le choker reprend du galon enrubanné et pavé d’un soleil fantastique. Des pièces désirables et irrésistibles dans lesquelles on se projette déjà.

Un front row chatoyant

Le défilé Dior crée l’évènement chaque saison. Outre la ligne de vêtements grandiose, le spectacle se passe aussi du côté des invités. Si les influenceuses se pressent vêtues de leurs plus beaux atours pour assister au show et se faire pourchasser par les photographes, ce sont des invités de choix qui ont créé du désordre au défilé Dior ce mardi 26 septembre. Et pour cause, la chanteuse Rosalia était présente, ainsi que la comédienne Jenna Ortega. Mais aussi les ambassadrices de la maison, Jennifer Lawrence, Charlize Theron ou encore l’actrice Anya Taylor Joy qui s’est fait connaitre dans la série Netflix à succès Le Jeu de la Dames. Pour l’occasion, les célébrités étaient ravissantes, toutes vêtues de Dior.

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Crédits photos : RINDOFF-BORDE / BESTIMAGE

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