Quand l’enfant doué apprend qu’il présente une défaillance de fond
C’est généralement au cours du primaire, et plus précisément à la fin de ce primaire, qu’on songe à un éventuel trouble spécifique chez un enfant doué. Ce sont d’infimes traces, à peine perceptibles, car, le plus souvent, sa dextérité intellectuelle lui a permis de compenser ce trouble particulier…
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Conseils : on ne doit pas penser que l’enfant accepte si facilement cette image de lui un peu abîmée par un défaut qui ne dépendrait pas de lui. Il peut en améliorer les conséquences, mais reste, enfouie, l’idée d’une différence qui le rendrait plus fragile. Même s’il n’en parle pas et semble l’accepter facilement, il ne peut oublier qu’il présente une faille, peut-être irrémédiable, que tout le monde la remarque, sans qu’il puisse s’en défendre. Une faiblesse bien corrigée se laisse oublier.
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