L'obsession de l'été : les mix graphiques de pierres dures

Exit le look complet turquoise ou le simple éclat de malachite à porter en bijou. Cette saison les joailliers jouent la carte de l’accord parfait entre différentes pierres ornementales. Un choc des nuances et des énergies plus qu’intéressant.

Cornaline, malachite ou turquoise. Un trio de tête aux tons de rouge, vert et bleu désormais bien connu qui s’étoffe de plus en plus depuis quelque temps de nouvelles venues en la matière (de l’aquaprase ou de la chrysoprase aux tons lagons ou de la rhodochrosite aux marbrures rosées magnétiques). Car les pierres dures séduisent un public toujours large du côté des créateurs (Ginette NY, D’Estrée, Justine Clenquet ou Charlotte Chesnais rien que pour cette saison printemps-été), mais aussi des maisons de la rue de la Paix et de la Place Vendôme. Même si pour eux, il s’agit plutôt d’un clin d’œil minéral au savoir-faire des années 1960 et 1970 car cela ne date pas d’hier.

Double jeu

Bracelet Heal en amazonite et bois, Ginette NY, 100 €. Disponible sur Ginette-ny.com

Chez Cartier par exemple, on a toujours mêlé les nuances de pierres et mis en perspective des pierres fines, précieuses et ornementales. Un amour premier pour ces pierres, qui sont loin d’être de substitution mais qui ont leurs valeurs propres, que l’on redécouvre cette saison au fil de nouveaux Berlingots hautement désirables. Si la plupart des modèles subliment un seul éclat d’onyx, de malachite ou de bois d’Amourette, un autre twiste avec brio la cornaline rose et le grenat. Un jeu des contrastes acidulés aussi décliné chez Ginette NY au fil de leurs nouveaux bracelets Heal, option amazonite, pyrite, onyx ou œil-de-tigre avec du bois taillé en perles. De quoi créer un nouvel alliage fort, calibré au plus près de ses attentes.

Collier Elizabeth doré à l’or fin en opale rose et agathe fuchsia, D’Estrée, 390 €. Renseignement sur Destree.com

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