L'impact écologique désastreux des masques chirurgicaux

Environ 500 milliards. C’est le nombre de masques chirurgicaux qui ont circulé dans le monde depuis le début de la pandémie. Et il ne cesse de grimper. Seulement, les protections usagées terminent incinérés, mais aussi pour la plupart — 10 % des déchets humains en général — jetés dans la nature, dans les eaux usées, pour finir dans les lacs et les océans…

  • États-Unis: New York sous une épaisse couche de neige, des chutes de 30 à 60 centimètres attendues

    Le Figaro

  • «On a fait zéro de chiffre d’affaire»: à Rome, les bars et restaurants restent vides malgré leur réouverture

    Le Figaro

  • En images: à Paris, la Seine en crue déborde de son lit

    Le Figaro

  • Voitures électriques : les constructeurs britanniques mis au défi

    Euronews

  • Dans le Doubs, un restaurant "rebelle" accueille ses clients à l'extérieur

    AFP

  • Après avoir mangé de la viande de sanglier, deux chasseurs contaminés par une maladie parasitaire

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  • Attestation pour les départs hors UE: à Roissy, entre acceptation et incompréhension

    AFP

  • Séparatismes: François de Rugy dément une «mise sous tutelle» des religions

    Le Figaro

  • Un accident de la route spectaculaire filmé au Canada

    KameraOne

  • Les pandas géants du zoo de Washington profitent de la neige

    KameraOne

  • États-Unis: Washsington sous la neige après une importante tempête

    Le Figaro

  • Des policiers sauvent une femme et son chien tombés dans l'eau glaciale d'un fleuve

    KameraOne


  • États-Unis: New York sous une épaisse couche de neige, des chutes de 30 à 60 centimètres attendues
    La ville de New York s'est réveillée lundi 1er février sous un épais manteau blanc, alors qu'une tempête important frappe le Nord-Est des États-Unis. D'après l'agence météo nationale, la perturbation devrait se poursuivre mardi. Des chutes de 30 à 60 centimètres de neige sont attendues.


    Le Figaro


  • «On a fait zéro de chiffre d’affaire»: à Rome, les bars et restaurants restent vides malgré leur réouverture
    Grâce au passage en «zone jaune», c'est-à-dire à risque modéré, de la plupart des régions italiennes, des bars et restaurants ont pu rouvrir lundi 1er février, alors qu'ils n'étaient autorisés jusqu'à présent à ne faire que de la vente à emporter. À Rome, les terrasses ont été installées, mais peu de clients ont profité de cet allègement des règles sanitaires. Les commerçants déplorent le manque de touristes mais également des règles sanitaires fluctuantes. «Comment peut-on espérer que les gens aient confiance dans une administration qui ouvre et ferme sur commande», se demande l'un d'eux.


    Le Figaro


  • En images: à Paris, la Seine en crue déborde de son lit
    La Seine déborde de son lit à Paris à la suite de fortes pluies. Le fleuve est officiellement en crue et placé en « vigilance jaune aux inondations » depuis le 23 janvier par Vigicrues , l'organisme d'état. En raison de la hausse du niveau du fleuve, plusieurs fermetures ont eu lieu en bordure des quais et perturbent la circulation.


    Le Figaro

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Des animaux ont ainsi été retrouvés étouffés avec des masques dans l’estomac. Les scientifiques alertent sur ce qui pourrait bien être une conséquence indirecte de la pandémie de coronavirus, et le désastre écologique sous-jacent qui s’annonce.

Quelle est la composition des masques ?

Les masques sont principalement composés de polypropylène, une résine plastique parmi les plus utilisées sur la planète (emballages alimentaires, blouses et charlottes jetables, certains billets de banque, etc.). Leur dégradation est lente, près de 400 ans. Durant ce temps, ces protections vont imprégner la terre de nanoparticules et la polluer à long terme.

La décomposition est plus rapide en mer, mais ces mêmes particules sont ingurgitées par les poissons… puis par l’Homme. Enfin, lorsqu’ils sont incinérés, les masques émettent du dioxyde de carbone toxique. Dans les trois cas, l’écosystème est menacé.

Quelles solutions pour pallier cette pollution ?

Puisqu’il est difficile de se passer de ces protections essentielles en temps de pandémie — et que le gouvernement recommande d’éviter les masques en tissus moins filtrants — les solutions sont donc :

  • De privilégier les masques réutilisables (de catégorie 1, c’est-à-dire certifiés) ;
  • De remplacer le polypropylène par de la fibre naturelle en l’imposant aux industriels ;
  • De créer une nouvelle filière de recyclage.

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