Les 5 belles pièces déco à s'offrir selon Sophie Pinet | Vogue Paris

Des verres délicats signés Valentina Cameranesi, une chaise Steltman de Gerrit Rietveld… Journaliste chez AD, Sophie Pinet dévoile ses derniers coups de coeur pour décorer un intérieur.  

Journaliste à la plume fine et à l'oeil aiguisé pour le magazine AD, Sophie Pinet est également aux commandes de l'un des compte Instagram les plus inspirants du moment. L'occasion de demander à cette esthète ses plus belles pièces déco à s'offrir ce printemps.

Des verres sculptures de Valentina Cameranesi

Sophie Pinet: “J’aime énormément l’univers de Valentina Cameranesi, designer et directrice artistique Romaine installée à Milan. Notamment cette série de pièces en verre qui rappellent les verreries soufflées à Murano au temps de la Renaissance.”

© Paola Pansini

Des objets de bureaux Isaac Reina

“Après la maroquinerie et ses petits accessoires, Isaac Reina développe actuellement une collection d’objets pour le bureau au dessin extrêmement simple, tous gainés de ses fameux cuirs naturels. Où quand l’accessoire de bureau devient chic…”

Une chaise Steltman de Gerrit Rietveld

“Plus que des assises (un peu raides), ces fauteuils en bois de Rietveld sont de véritables sculptures qui font écho à l'art minimaliste américain, et racontent en plus une jolie histoire: Rietveld les avait dessinés en version gauche et droite pour accueillir les couples qui venaient choisir leurs alliances chez le Joaillier Steltman, au début des années 60. Une fois rapprochées, les deux chaises forment un petit banc.”

© Augustus Greaves

Une lampe Lampampe d’Ingo Maurer

“Une lampe un peu fragile certes, mais j’adore le dialogue qui s’opère entre la forme quasi naïve dessinée par le designer allemand dans les années 80, et la tradition, à travers l’utilisation du papier japonais froissé qui vient habiller sa structure.”

Un plaid en cachemire

“Dans les indispensables, un plaid en cachemire dans le salon. J’aime beaucoup ceux de la jeune marque Linnea Lund, car ils sont fabriqués à la demande (donc pas de superproduction) par une petite entreprise familiale italienne, qui s’approvisionne dans des fermes en Mongolie responsables.”

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