Le Saviez-Tu : Mortal Kombat aurait du être complètement dédié à Jean-Claude Van Damme

Dire que Jean-Claude Van Damme aurait bien pu devenir une égérie d’importance des jeux vidéo ! C’est ce que l’on te révèle aujourd’hui : Mortal Kombat aurait bien pu avoir une toute autre allure dans les années 90.

Depuis les années 90, plusieurs licences de jeux de combat se font la guerre, pour déterminer laquelle est la plus populaire auprès des joueurs. Et elles ne manquent pas : Tekken, Soul Calibur, Dragon Ball FighterZ, Injustice, Guilty Gear, Marvel Vs Capcom… Elles sont particulièrement nombreuses. Mais les deux licences les plus populaires, et ce depuis les années 90, ce sont sans aucun doute Street Fighter et Mortal Kombat. On va ici faire un focus sur cette dernière, car elle recèle une génèse particulièrement intéressante : à l’origine, Mortal Kombat aurait bien pu devenir « Jean Claude Van Damme : The Game« . Le jeu de combat le plus violent de l’histoire aurait en effet bien pu être complètement dédié à Jean-Claude Van Damme, notre acteur belge de films d’actions préféré.

On connaît tous Johnny Cage. Avec Scorpion et Sub-Zero, c’est sans aucun doute le personnage le plus emblématique de la licence Mortal Kombat. Eh bien, à l’origine, Johnny Cage était en réalité Jean-Claude Van Damme. C’était l’idée originelle du studio Midway Games : permettre au joueur d’incarner l’acteur pour s’en prendre à tout un tas d’ennemis les plus farfelus les uns que les autres, le tout dans une ambiance de violence encore jamais atteinte dans le jeu vidéo. Le personnage de Johnny Cage est carrément inspiré de Van Damme, mais il n’aura malheureusement pas pu garder son nom, à cause de problèmes de droits : cela coûtait bien trop cher à Midway Games d’intégrer JCVD à son nouveau jeu.

Quelque part, l’impossibilité d’intégrer JCVD au jeu aura permis au studio d’avoir le champ libre sur le reste : pas de problème lié à des droits et une totale liberté de création sans qu’un studio de cinéma ne s’en mêle. Midway Games a donc décidé de garder le côté photoréaliste prévu à l’origine pour le jeu, tout en y intégrant pas mal de choses complètement folles, comme des dieux morts, des cyborgs et des ninjas tueurs, plus surréalistes les uns que les autres. Autrement dit, on doit certainement Mortal Kombat (et toute son influence) au fait qu’un studio n’était pas prêt à mettre trop d’argent dans son projet, lui permettant d’acquérir une totale liberté d’action pour le développement. Une leçon qui devrait inspirer tout un tas de studios actuels…

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