Ces chansons qui font (vraiment) les fêtes : Brassens au temps de la "calotte chantante"

Il y a des chansons de Brassens qui demandent un peu d’explications, comme Trompettes de la renommée, en 1962, dans laquelle le bon tonton Georges ironise sur ce que l’on appelle aujourd’hui la presse people. Et seuls les plus anciens d’entre nous se souviennent bien du père Duval.   

Le père Duval, c’est un peu comme Brassens : une voix, une guitare, des chansons à la première personne du singulier. Ils sont de la même génération, d’ailleurs : Aimé Duval est né en 1918 et Georges Brassens en 1922. Mais le premier est prêtre jésuite et le second est ? Mais qu’est-ce qu’il est, d’ailleurs ?

Dans cet épisode de notre chronique Ces chansons qui font (vraiment) les fêtes, voici ce que vous entendez :

Georges Brassens, Trompettes de la renommée, 1962

Père Duval, La Petite Tête, 1957

Georges Brassens, Chanson pour l’Auvergnat, 1954

Maurice Cocagnac, Abraham, 1958

Sœur Sourire, Dominique, 1962

Noël Colombier, Merci Brassens, 1968

Georges Brassens, L’Assassinat, 1962

Georges Brassens, La Messe au pendu, 1976


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