Centurion : pourquoi le tournage de ce film a-t-il été difficile ?
A l’occasion de la diffusion du film Centurion sur la chaîne l’Equipe dimanche 16 mai 2021, à partir de 21h05, Télé Star vous dévoile pourquoi le tournage de ce long-métrage fut particulièrement éprouvant.
Sorti au cinéma en 2010, le film intitulé Centurion, réalisé par Neil Marshall, sera rediffusé dimanche 16 mai 2021, à partir de 21h05 sur la chaîne l’Equipe. Porté par Michael Fassbender, Dominic West et Olga Kurylenko, ce long-métrage met en scène le personnage du Centurion Quintus Dias, incarné à l’écran par Michael Fassbender. Unique survivant d’une garnison massacrée par les Pictes, il rejoint la 9ème légion, commandée par le général Titus Flavius Virilus, interprété par Dominic West, qui est chargée de lancer une attaque décisive contre les Pictes et leur roi Gorlacon. Mais la bataille attendue tourne au massacre. Après la disparition du général, Quintus Dias se retrouve à la tête d’une poignée d’hommes en plein territoire ennemi.
Ce long-métrage a été tourné au sein de la forêt Alice Holt, située en Angleterre, dans le domaine Glenfeshie en Ecosse, ainsi que dans les studios de la Ealing à Londres, et dans les studios Shepperton dans le Surrey. Le tournage de ce film ne fut pas une partie de plaisir pour les acteurs. En plus des entraînements physiques intenses exigés par le long-métrage, ces derniers ont aussi dû faire face aux températures souvent négatives d’Ecosse, et ce avec les costumes similaires à ceux de l’époque romaine. Pour le réalisateur Neil Marshall, cela a permis de donner davantage encore de crédibilité aux acteurs et aux scènes de batailles dans la neige.
Centurion : des centaines de litres de faux sang utilisés durant le tournage
Si tourner en Ecosse avec des températures glaciales n’était déjà pas une mince à faire en soit, le principal défi de la production sur ce film fut de recréer les combats épiques, mais aussi les morts violentes de l’époque. Paul Hyett, qui était chargé des effets spéciaux sur Centurion, a révélé que les 200 litres de faux sang qu’il comptait utiliser sur ce long-métrage avaient déjà servi à la moitié du tournage, ce qui implique que le film en a exigé près du double. L’afflux de sang ne l’a pas étonné, étant donné que la filmographie du réalisateur Neil Marshall compte essentiellement des films d’horreur.
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