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VIDEO Thomas Sotto s’excuse après avoir fait une bourde sur Jean Castex dans son JT
Thomas Sotto reconnaît ses erreurs : dans le JT de 20 heures de France 2, samedi 29 mai, il a fait une petite inexactitude concernant les origines de Jean Castex… mais s’est rattrapé peu de temps après, assumant sa bourde.
Jean Castex
Thomas Sotto
L’erreur est humaine, et n’épargne personne, pas même les journalistes. C’est ce qu’on a pu voir dans le JT de 20 heures ce samedi 29 mai. Alors que Thomas Sotto évoquait les origines du chef du gouvernement, Jean Castex, après la diffusion d’un reportage sur l’enseignement immersif, il a en effet fait une petite bourde… En effet, depuis quelques jours, une polémique a lieu concernant les langues régionales : le Conseil constitutionnel a censuré deux articles de la loi sur la protection et la promotion des langues régionales, le vendredi 21 mai dernier. Thomas Sotto évoquait les nombreuses voix qui se sont élevées contre cette censure quand l’erreur a été faite : « Le Catalan Jean Castex, qui revendique souvent ses origines, a senti venir le problème, semble-t-il, puisqu’il a missionné deux députés sur le sujet cette semaine », a déclaré le journaliste de France 2. Sauf que… Jean Castex n’est pas Catalan ! Heureusement, le futur présentateur de Télématin a corrigé cette inexactitude par la suite, après un reportage sur l’école finlandaise, qui se classe deuxième du classement européen PISA (mesurant le niveau des élèves de quinze ans en lecture et en science). « Et puisqu’on est à l’école, on en profite pour corriger ses erreurs, en l’occurrence les miennes…« , a ainsi commencé le journaliste.
Le Premier ministre est bien Gascon
« Je vous ai dit tout à l’heure que Jean Castex était Catalan. Il est Catalan d’adoption, mais d’origine, il est bien Gascon, notre Premier ministre », s’est ainsi rattrapé Thomas Sotto, qui assume sa bourde sans problème. En effet, si Jean Castex est né à Vic-Fezensac, dans le Gers, il s’est rendu par la suite dans les Pyrénées-Orientales, où il a rencontré son épouse, Sandra Ribelaygue. C’est au journal Sud-Ouest en 2010, que le locataire de Matignon expliquait : « Pour des raisons de santé, je suis allé très jeune dans les Pyrénées-Orientales où, fait majeur, j’ai rencontré ma femme avant de m’implanter dans ce beau département. Je reste bien entendu très attaché à Vic, où j’ai encore de la famille et des amis : les origines, c’est comme les convictions, il ne faut jamais les renier ! » assurait-il.
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