VIDÉO – Pascal Praud effaré par la polémique sur les dîners clandestins : « C’est rien »

Si la polémique des dîners clandestins en choque plus d’un, Pascal Praud, lui, n’y voit qu’une tempête dans un verre d’eau, tel qu’il le fait comprendre ce vendredi 9 avril dans L’Heure des Pros.

A propos de


  1. Pascal Praud


  2. Pierre-Jean Chalençon

Pascal Praud relativise. Comme Pierre-Jean Chalençon a pu le faire avant lui dans Touche Pas à Mon Poste, l’animateur phare de CNews minimise la polémique des dîners clandestins. « Cette affaire, ce n’est pas grand-chose sinon rien, c’est dérisoire », déclare-t-il sur le plateau de L’Heure des Pros ce vendredi 9 avril. Et d’ajouter : « le fait qu’elle soit mise en avant comme ça fait sens dans notre société. » S’il est loin d’y voir un véritable scandale, il n’empêche que le tollé devient cauchemar pour l’ex-acheteur phare de Affaire Conclue et le chef Christophe Leroy, également accusé d’avoir organisé des soirées clandestines au sein du Palais Vivienne.

Après une perquisition de cette demeure du deuxième arrondissement de Paris, la deuxième de l’affaire puisque Christophe Leroy a, lui aussi, eu droit à une visite des forces de l’ordre, les autorités ont convoqué Pierre-Jean Chalençon et le cuisinier des stars ce vendredi 9 avril. Les deux hommes ont eu rendez-vous au siège de la police judiciaire parisienne dans le cadre d’une audition et ont, ensuite, été placés en garde à vue. Ce jeudi 8 avril, le site de Jean-Marc Morandini a rapporté que le spécialiste de Napoléon Bonaparte a été « embarqué par les forces de l’ordre (…) escorté par les policiers [et] est sorti par une porte à l’arrière du bâtiment » à l’issue de la perquisition du Palais Vivienne.

« Chasse à l’homme »

Le gouvernement, de son côté, ne prend pas cette polémique à la légère. Dans un reportage diffusé dans l’émission 19h45 sur M6, ce vendredi 2 avril, le public a appris que certains ministres auraient participé à ces dîners clandestins. Franck Riester, ex-ministre de la Culture, a été obligé de démentir sa participation. De quoi déclencher une « chasse à l’homme » dans les coulisses du pouvoir : le Premier ministre Jean Castex a lui-même averti que ceux qui se seraient prêtés à ces soirées, en pleine crise sanitaire, n’auraient aucun passe-droit. Matignon et l’Élysée ont donc « mené une enquête rapide interne auprès de plusieurs membres du gouvernement pour s’assurer qu’ils n’avaient pas fauté » à en croire les informations du Point.

Crédits photos : Capture CNews

Autour de

Source: Lire L’Article Complet