VIDÉO – « On s’en fout » : Pascal Praud mouché par un de ses chroniqueurs

Une scène plutôt amusante s’est déroulée sur le plateau de L’Heure des Pros, ce jeudi 8 avril.

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  1. Pascal Praud

Si habituellement c’est le lot de certains chroniqueurs de peiner à finir leurs phrases en plein débat sur le plateau de L’Heure des pros sur CNews, cette fois-ci c’est Pascal Praud qui a été interrompu. « Par exemple, sur les réseaux, qu’est-ce qu’on nous dit sur les réseaux ? C’est Doudou d’Anti qui dit l’affaire des restos clandestins avec les ministres… », commence le journaliste de 56 ans avant d’être mouché par l’un de ses chroniqueurs. « Excusez-moi mais on s’en fout », l’interrompt le géo-politologue Jean-Loup Bonnamy. Le chroniqueur continue : « L’avis d’un anonyme, qui n’est même pas capable de donner son vrai nom sur un réseau social, non mais excusez-moi. Quelqu’un qui n’est même pas capable de donner son vrai nom. »

Pendant ce temps, Pascal Praud n’en revient pas, un brin amusé. « Non mais là c’est le mépris de classe », lance le patron de L’Heure des Pros, les bras grand ouverts. Ce à quoi Jean-Loup Bonnamy répond, taquin : « Qui vous dit que ce n’est pas un patron du CAC 40 ? » Si ce dernier se moque de connaître de l’avis de ce Twittos sur la polémique des dîners clandestins, avec pour personnage central Pierre-Jean Chalençon, Gilles-William Goldnadel partage son avis. « Nous quand on va à la télé, on y va nous notre vrai nom. Je ne suis pas J-L de Besançon », lâche Jean-Loup Bonnamy. Avant que Pascal Praud ne rebondisse en plaisantant : « Et nos familles le regrettent… »

Perquisition au Palais Vivienne

L’affaire des dîners clandestins ne semble pas près de prendre fin. Nos confrères du Figaro révélait ce jeudi 8 avril qu’une perquisition avait été menée au Palais Vivienne, endroit où aurait été organisé ces fameuses soirées clandestines en pleine crise sanitaire. D’après le site de Jean-Marc Morandini, Pierre-Jean Chalençon aurait par ailleurs été interpellé par les autorités. « Embarqué par les forces de l’ordre (…) escorté par les policiers [et] est sorti par une porte à l’arrière du bâtiment », apprenait-on un peu plus tard dans la journée. Il n’y a pas eu d’autre information sur le sujet.

Crédits photos : Capture d’écran / CNews

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