VIDEO – Nordahl Lelandais « pas un prédateur solitaire » : Karl Zéro crée le malaise chez Pascal Praud

Venu dans « L’Heure des pros » pour évoquer le procès Nordahl Lelandais, Karl Zéro a provoqué un moment de gêne sur le plateau de Pascal Praud. En cause : une théorie stupéfiante sur les motivations du tueur présumé.

A propos de


  1. Pascal Praud


  2. Karl Zéro

N’est-on qu’au tout début des révélations sur Nordahl Lelandais ? A l’heure où vient de s’ouvrir le procès de l’ancien maître-chien à Chambéry, pour le meurtre du caporal Arthur Noyer, certains sont persuadés que l’accusé détient encore de nombreux secrets. C’est le cas de Karl Zéro qui, dans le cadre d’une enquête sur l’ex-militaire pour son magazine L’Envers des affaires, affirme avoir fait des découvertes explosives.

« On découvre que ce n’était pas un prédateur solitaire, a-t-il assuré sur CNews face à Pascal Praud. C’est un ancien militaire, c’est quelqu’un qui est très entouré, qui a des rapports avec le milieu ». Pour l’ex-présentateur du Vrai Journal sur Canal+, Nordahl Lelandais aurait en fait agi sur commande, notamment dans l’affaire de la petite Maëlys, qui devrait être jugée en 2022. « Je suis en train de vous dire qu’il était plutôt homosexuel, cet ancien soldat (…) C’est pas son truc, les petites filles, si j’ose dire… Il y a une histoire derrière l’histoire.« 

La gêne de Pascal Praud

Des propos qui ont particulièrement embarrassé Pascal Praud, pas prêt à cautionner ce genre de théorie lâchée en direct sur son plateau. « Karl Zéro, il faut faire attention quand même à ce que nous disons…, le freine-t-il. Il faut faire attention aux téléspectateurs qui nous écoutent, à la famille de Maëlys qui nous écoute… Je ne sais pas si vous avez des infos mais…« . « Si je vous dis ça c’est que nous avons des informations« , insiste alors Karl Zero, sans se démonter, avant de voir Pascal Praud lui rappeler son rôle dans l’affaire Alègre.

Il risque trente ans de prison

Pour le moment, Nordahl Lelandais n’a en tout cas pas confirmé cette thèse. L’ancien maître-chien, dont le procès pour le meurtre d’Arthur Noyer doit durer jusqu’au 12 mai, encourt trente ans de réclusion criminelle. S’il a reconnu avoir tué le caporal après l’avoir pris en stop à Chambéry durant la nuit du 11 au 12 avril 2017, il maintient qu’il s’agit d’un homicide involontaire.

Crédits photos : Capture CNews

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