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VIDÉO – Mémona Hintermann touchante : le récit de la tentative de suicide de son mari
Dans son nouvel ouvrage, Mémona Hintermann est revenue sur le jour où elle a failli perdre son mari. Une épreuve douloureuse que la journaliste a racontée sur le plateau de C à vous, ce jeudi 20 mai.
L’émotion était vive, ce jeudi 20 mai, dans le studio de C à vous. Invitée sur le plateau d’Anne-Élisabeth Lemoine, Mémona Hintermann est revenue sur l’une des pires épreuves de sa vie : la tentative de suicide de son mari. À l’occasion de la sortie de son livre Je n’ai pas su voir et entendre (Hugo et compagnie), l’ancienne journaliste de France Télévisions a évoqué cet épisode douloureux où elle a failli perdre son compagnon, Lutz Krusche, il y a huit mois. « C’était tellement imprévu. Je n’ai pas voulu croire, pendant des heures, que mon mari était allé se tuer », a expliqué l’ex-membre du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), avant de raconter son histoire.
Lutz Krusche, correspondant pour le journal Der Spiegel, a tenté de s’ôter la vie à la fin de la journée du mercredi 16 septembre 2020. Comme Mémona Hintermann le relate dans son ouvrage, son mari a été retrouvé dans son véhicule, sur le parking d’une plage des Landes. Il s’était rendu dans sa résidence secondaire, à Capbreton, alors que sa compagne était restée à Paris. Avant de commettre son geste, le journaliste d’origine allemande avait envoyé un SMS inquiétant à son épouse : « Je t’aime, ça ne va pas du tout ».
Son mari, en proie à une dépression
Après l’avoir bombardé de messages, Mémona Hintermann a appelé les hôpitaux de la région, puis la gendarmerie, après une nuit sans nouvelles. Son fils Julien, que son époux a adopté, était présent sur place. « Lutz, c’est mon frère, mon amour, mon mari, et je n’ai pas vu qu’il était en train de dégringoler« , a déploré l’ancienne grand reporter de France 3, qui rappelle qu’il y a 200 000 tentatives de suicide par an en France. La principale intéressée le reconnaît : elle n’a pas « compris », ne voulait pas « croire ». Son mari depuis 30 ans, endeuillé par la mort de sa fille unique, était en proie à une dépression, aggravée par les confinements successifs. « Je voulais la paix », a-t-il dit à son épouse, après avoir été secouru.
Article écrit avec la collaboration de 6Médias.
Crédits photos : Capture d’écran France 5
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