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VIDEO Loft Story truqué ? Benjamin Castaldi balance un lourd secret !
Loft Story était-il truqué ? D’un point de vue strictement légal, peut-être pas, mais d’un point de vue moral, les aveux de Benjamin Castaldi sont surprenants. Le présentateur a avoué qu’il existait quelques techniques pour sauver des candidats en danger.
Benjamin Castaldi
C’est un serpent de mer qui revient à chaque émission de téléréalité : les votes sont-ils truqués pour assurer à la production, ou à la chaîne, d’avoir le gagnant qu’elle désire ? Dernièrement, Emilie Nef Naf et Cindy Lopes se sont écharpées sur le sujet, à propos de la finale de Secret Story. « Je ne sais pas d’où elle sort ça… Accuser une production de faire ça c’est super grave, avait répliqué la gagnante à nos confrères de Purepeople. Je les connais, ils ont un service juridique béton, je ne m’aventurerai pas là-dedans, je préfère ne pas relever. Elle pense ce qu’elle veut, personnellement je ne pense pas comme elle« .
Plus généralement, des candidats ont toujours plus ou moins évoqué des « manipulations de la réalité », et une scénarisation du programme. Ce dernier point est l’accusation la plus entendue au sujet des programmes d’aujourd’hui, notamment Les Marseillais. Dans Loft Story, et même si le programme était une première en France, Benjamin Castaldi a admis, jeudi 8 avril, qu’il était possible d’arranger le résultat lorsque deux candidats étaient nominés.
Le standard coupé pendant le prime de Loft Story
Sans vouloir parler de trucage, le présentateur a expliqué que la production avait une petite technique pour faire pencher les votes des téléspectateurs. « Il y avait un huissier de justice pour contrôler la validité des votes, mais on avait une latitude pour la fermeture des votes », explique Benjamin Castaldi, avant d’ajouter : « Autrement dit, si un candidat était bien placé et que ce candidat nous paraissait mieux, on pouvait arrêter un peu avant ». « Donc c’était truqué », constate Kenza, une ancienne lofteuse.
Benjamin Castaldi assure que le cas ne s’est pas présenté lors de la première saison, mais plutôt lors de la seconde. « J’ai vécu un truc de fou, je fais mon appel au vote, et je lance la publicité. A 21h15, on me dit que les votes sont fermées, parce qu’on voulait sauver une candidate ». Quand les téléspectateurs appelaient au standard, ils entendaient que les votes avaient déjà été clôturés. Après cela, l’huissier s’est mis à contrôler l’heure d’ouverture et de fermeture des votes. Autre technique, plus subtile, pour tenter d’aider un candidat à garder : « J’avais pour consigner d’influencer les votes », souligne Benjamin Castaldi. Vingt ans après, c’est un sacré aveu.
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