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VIDEO Les Grosses Têtes : Jean-Jacques Peroni s’en prend violemment à Laurent Ruquier et adresse un doigt d’honneur aux autres sociétaires
Jean-Jacques Peroni est dans le camps de ceux qui pensent qu’on ne peut plus rien dire… Et ça l’agace fortement. Sur le plateau de Non Stop People, l’humoriste a dit tout le mal qu’il pensait des autres sociétaire des Grosses Têtes.
Laurent Ruquier
Depuis quelques années, il y a une phrase qui provoque, à chaque fois qu’elle est prononcée, un clivage, presque un débat : « On ne peut plus rien dire ». Sans trancher sur le sujet aujourd’hui, force est de constater que « l’humour » évolue, et que certaines blagues se retrouvent au coeur de polémiques. Alors, quand l’émission entière consiste à faire des vannes, il y a un risque de déplaire. Ainsi, le programme Les Grosses Têtes s’est retrouvé au coeur d’une polémique. Une enquête menée par l’association des journalistes LGBTI (AJL) accuse la bande de Laurent Ruquier d’avoir régulièrement recours à des blagues sexistes, racistes et homophobes. L’organisation affirme qu’en moyenne 19 séquences discriminantes sont diffusées par émission de deux heures, dont au moins une remarque sexiste toutes les 11 minutes. Si de nombreux sociétaires ont pris la défense de l’émission, Jean-Jacques Peroni, présent dans le programme depuis 1998, vient de tirer sur tout le monde à boulet rouge avec l’opinion inverse : il estime que Les Grosses Têtes est désormais censuré par « la bien-pensance ».
« Il y a de l’auto-censure »
Invité de Jordan de Luxe, sur Non Stop People, l’humoriste a avoué « s’emmerder » sur RTL. « Comme on est sous la botte de la kommandantur bien pensante, je m’emmerde. Les gens, l’époque, leur façon de penser. On ne peut pas faire rire avec des bonnes pensées », estime-t-il, n’hésitant pas à égratigner ses collègues au passage, avec lesquels il n’a, semble-t-il, aucune affinité. « Je ne parle pas avec mes collègues. J’arrive, je mets les pieds sous la table, je fais le con, et je me tire tout de suite après« , assure-t-il.
Jean-Jacques Peroni reproche à Laurent Ruquier et aux autres sociétaires d’être aux ordres de la « moraline ». « Il y a de l’auto-censure. Je raconte une blague, et Laurent Ruquier me dit ‘bah celle-là, on va la couper’… Je lui dis ‘On est pas à France Inter, ici, merde !’. Les autres disent ‘ah oui, il faut couper’. Ceux qui prétendent faire rire… ». « Et qu’est-ce que vous leur répondez ? », demande Jordan de Luxe. Visiblement affecté, Jean-Jacques Peroni répond seulement d’un geste… Un bras d’honneur. Elles vont être sympa, les retrouvailles à RTL.
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