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VIDÉO – « L’enfance est finie » : Anny Duperey raconte le traumatisme vécu après la mort de ses parents
Sur le plateau de l’émission 6 à la maison, ce mercredi 17 février, Anny Duperey a accepté de se livrer sur la mort de ses parents. Son enfance a été marquée par le deuil.
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Anny Duperey
Il y a des douleurs qui ne peuvent s’estomper avec le temps. Jamais Anny Duperey ne pourrait guérir de la mort tragique de ses deux parents, asphyxiés au monoxyde de carbone dans la salle de bain familiale à cause d’un chauffe-eau défectueux. L’actrice les a d’ailleurs retrouvés sans vie sur le carrelage, alors qu’elle n’avait que 9 ans. Une découverte macabre qui a brisé son enfance et perturbé sa scolarité, comme elle l’a raconté sur le plateau de l’émission 6 à la maison, ce mercredi 17 février.
Anny Duperey n’a jamais été une bonne élève. « Vous êtes niveau Beaux-Arts, niveau Cours Simon, mais pas niveau bac« , a affirmé Patrick Cohen, co-présentateur avec Anne-Elisabeth Lemoine. Ce à quoi l’invitée a répondu par l’affirmative. « Je suis partie sur le point de redoubler pour la troisième fois ma 4ème. » Cet échec scolaire, l’artiste l’a « analysé grossièrement ». « Effectivement, trouver à 9 ans ses parents par terre… » a-t-elle d’abord confié. Avant de résumer : « L’enfance est finie. » Anny Duperey aurait alors grandi avec « une espèce de solitude« , comme « des gens qui ont vu des tas de choses dramatiques ». « Ça s’appelle un trauma, je crois », a-t-elle ajouté. Avec sa sœur Patricia, alors âgée de cinq mois, la fillette a été recueillie par sa tante et sa grand-mère paternelle, qui l’ont poussée à atteindre ses rêves.
L’art dans le parcours du deuil
Malgré les affres de l’enfance, marquée par le deuil parental, Anny Duperey s’est réfugiée dans trois matières : la peinture, le français et la danse. « Ça donne forcément une vocation artistique« , lui a fait remarquer Patrick Cohen, toujours devant les caméras de France 2. L’interprète de Catherine Beaumont dans Une famille formidable, de 1992 à 2018, a en effet emprunté le chemin des Beaux-Arts. « À l’époque, niveau BEPC, je suivais les cours des Beaux-Arts depuis l’âge de 10 ans et demi, a-t-elle expliqué. Ma tante m’avait inscrite, voyant que j’étais très douée et j’ai pu entrer dans une école qui avait un niveau université avec le niveau BEPC, à peu près. J’ai passé le concours d’entrée à 14 ans et demi. » La suite, on la connaît.
Article écrit avec la collaboration de l’agence 6Medias
Crédits photos : Capture d’écran France 2
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