VIDÉO – Julie Gayet gênée dans C à vous : elle dévoile un lourd secret de famille

Invitée sur le plateau de C à vous, mercredi 1er mars, Julie Gayet a assuré la promotion de son futur ouvrage, Ensemble on est plus fortes (éditions Stock). Seulement, durant son passage, l’épouse de François Hollande a notamment levé le voile sur un secret de famille…

Un souvenir encore frais dans la mémoire de Julie Gayet. Mercredi 1er mars, l’épouse de François Hollande était de passage dans C à vous afin d’évoquer son prochain ouvrage, Ensemble on est plus fortes, disponible aux éditions Stock dès le 8 mars prochain. Une date mûrement réfléchie par cette dernière puisqu’elle coïncide avec la journée mondiale des droits des femmes. Mais face aux chroniqueurs d’Anne-Elisabeth Lemoine, la mère de Tadeo et Ezechiel (nés d’une précédente relation) a également pris le soin de dévoiler un secret de famille…

En effet, en toute sincérité, l’épouse de l’ancien président s’est souvenue du jour où elle a compris que sa mère avait été victime de violences. « On est dans la rue avec ma mère et tout d’un coup, elle me dit : ‘Il est mort !’« , a raconté Julie Gayet, légèrement embarrasée. Une confidence soudaine mais également lourde de sens. « Je comprends qu’elle a été agressée, a-t-elle ensuite poursuivi. Et donc, je m’entends dire : ‘C’est une bonne chose.‘ […] Et on en a reparlé que très très longtemps après.« 

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Julie Gayet : ses confidences sur son enfance

Toujours lors de ce même entretien, Julie Gayet a évoqué le fait que, durant son enfance, elle n’avait pas les mêmes droits que ses frères. Alors que ces derniers pouvaient sortir comme ils le voulaient, parfois jusque tard dans la nuit, elle n’en avait pourtant pas le droit. Ils ne la laissaient pas, par exemple, sortir en mini-jupe. Une interdiction concernant laquelle la principale intéressée a apporté une explication.

« Ils [l’ont fait] plus par inquiétude, par protection, a-t-elle fait remarquer. Pas parce qu’ils ne [voulaient] pas que je sorte. » Selon elle, ils avaient surtout peur qu’elle soit agressée ou qu’elle fasse une mauvaise rencontre. « À la fin, je me suis rendu compte que mes frères savaient que c’était dangereux pour moi« , a-t-elle ensuite assuré. Précisant que lorsque ses frères lui faisaient ces remarques, c’était parce qu’ils avaient encore en tête les violences faites à leurs mères. Ils souhaitaient simplement la protéger.

Crédits photos : Capture d’écran / France 5

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PHOTOS – Julie Gayet, Sophie Marceau, Marlène Schiappa, retour sur leur engagement pour les droits des femmes

Difficile de faire plus féministe que Julie Gayet. Lors de la journée des droits de la femme, l’actrice a déploré que les femmes soient souvent positionnées les unes contre les autres, indépendamment de leur volonté . « On a vu ces dernières années avec le mouvement #MeToo une libération de la parole (…) Un mouvement est né et c’est dommage d’essayer d’opposer les femmes, on a toujours envie de les opposer, on a toujours envie qu’elles se crêpent le chignon, et moi je me sens féministe« , a-t-elle expliqué.

Depuis qu’elle a rejoint le gouvernement d’Emmanuel Macron, Marlène Schiappa lutte contre les discriminations et affiche un féminisme engagé. Mère de deux enfants, la femme politique de 39 ans s’est laissée aller à quelques confidences sur ses filles, âgées de 10 ans et 14 ans, notamment le fait qu’elles soient « déjà très féministes, antiracistes et engagées ». Décidée à leur transmettre de belles valeurs, l’épouse de Cédric Bruguière peut être fière d’elles.

« La honte ! », s’était exclamée Adèle Haenel lors du sacre de Roman Polanski dans la catégorie du meilleur réalisateur pour son film « J’accuse » en 2020. Que ce soit pour la nomination de Gérald Darmin nommé au ministère de l’Intérieur ou bien lors du scandale #metoo, l’actrice a toujours affiché fièrement son engagement. Dans un entretien accordé à Madame Figaro en 2016, Adèle Haenel ne peut concevoir le féminisme comme un accessoire. « Je n’ai pas de ‘côté féministe’, assure-t-elle. Je suis féministe simplement parce que j’ai envie d’exister. »

« Je suis féministe. Je défends les femmes », déclarait Sophie Marceau sur le plateau de BFM TV, le 13 septembre 2016. Régulièrement, l’actrice apporte son soutien pour le droit au choix des femmes, comme celui de ne pas avoir d’enfants. Et lorsque la liberté conditionnelle de Jacqueline Sauvage -condamnée à 10 ans de prison pour avoir tué son mari violent- a été refusée par le tribunal d’application des peines de Melun, Sophie Marceau s’est indignée sur Twitter. « Encore une fois, le sort des femmes est non reconnu par la justice ».

« Moi qui adore la comédie et qui aimerait en faire beaucoup plus je dois dire que je suis affligée par les rôles écrits pour les femmes (..). soit je suis nymphomane, soit je suis mal baisée, soit j’ai mes règles, soit je ne les ai pas. Tout est raconté en dessous de la ceinture. Ça n’est pas intéressant. Moi je rêve qu’on m’autorise à faire rire comme un homme. Faire rire avec autre chose qu’avec des nichons et une chatte. », déclarait-elle dans les colonnes des Inrockuptiles.

« Balance ton quoi ! » Avec ce titre, Angele est devenue l’icône féministe la plus populaire. Dès lors, la chanteuse Belge n’hésite pas à mettre à profit sa notoriété pour défendre cette cause. Dans un entretien publié dans les colonnes de Madame Figaro, l’artiste se disait très fière d’avoir sensibilisé des jeunes générations sur le fléau du sexisme : « Des filles et des garçons me disent : « On l’écoute tous à l’école ». » Pour autant, « le combat n’est pas fini ».

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