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VIDÉO – Anne-Élisabeth Lemoine « fantasme » sur Bernard Pivot
Invité sur le plateau de C à Vous ce vendredi 8 janvier, Bernard Pivot a relaté une anecdote de son livre …Mais la vie continue (Albin Michel). Il y est question d’un étonnant pari perdu…
A propos de
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Bernard Pivot
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Anne-Elisabeth Lemoine
Dans son dernier ouvrage, intitulé …Mais la vie continue, Bernard Pivot raconte le grand âge à sa manière, sous les traits d’un narrateur qui lui ressemble « comme deux gouttes de vieux bourgogne ». On y découvre un homme de 82 ans – son auteur en a 85 – qui pourrait bien être un sosie de l’ancien président de l’académie Goncourt. Mais si les ressemblances entre le personnage, un vieil homme à la santé déclinante, et son auteur, qui a annulé il y a deux ans une tournée de promotion en raison d’un « gros coup de fatigue », sont remarquables, certaines péripéties de l’ouvrage ne sont (malheureusement) pas inspirées de sa propre vie, comme le raconte l’écrivain et journaliste sur le plateau de C à Vous, ce vendredi 8 janvier sur France 5.
Dans son roman, paru aux éditions Albin Michel, un personnage se fait tatouer un livre ouvert sur le bras gauche, « à la suite d’un pari perdu, persuadé que François Hollande serait candidat à sa propre succession », rappelle l’animatrice Anne-Élisabeth Lemoine, qui implore : « S’il vous plaît, dites-moi que vous êtes tatoué Bernard Pivot ! » Et d’ajouter, avec humour : « J’aimerais tellement que vous me disiez oui, j’ai fantasmé sur votre bras gauche ! » Tout en élégance, le principal intéressé lui répond par la négative. Non, Bernard Pivot n’a pas de tatouage secret sur le bras gauche. « Cela vient d’un personnage du livre, qui a 95 ans, explique l’homme de lettres, qui a donné son nom à une école primaire en 2013. C’est le seul personnage authentique. Elle a dit : ‘écoutez, si Hollande se présente, je perdrai donc je me ferai un petit tatouage. Sinon, c’est vous !' »
Traités de vieilles peaux
L’histoire raconte que la vieille dame « à l’ancienne mode » a gagné son pari, contrairement à ses amis qui ont dû encrer leur peau pour l’éternité. « Ils vont chez un tatoueur de la rue des Martyrs, qui leur prend beaucoup d’argent parce qu’ils sont friables, poursuit l’écrivain, qui a dû se confiner loin de son épouse médecin ces derniers mois. C’est compliqué : non seulement ils ont perdu leur pari mais en plus, ils se font traiter de vieilles peaux ! » Il y a cinq ans déjà, le présentateur d’Apostrophes s’était déjà exprimé sur Twitter au sujet d’un éventuel tatouage, non sans humour : « Par crainte d’une faute d’orthographe, jamais je ne me ferai tatouer ne serait-ce qu’un mot ! »
Par crainte d'une faute d'orthographe, jamais je ne me ferai tatouer ne serait-ce qu'un mot !
Article écrit avec la collaboration de 6Medias.
Crédits photos : Capture d’écran France 5
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