VIDÉO – Alessandra Sublet : ce jour où elle a « bidonné son CV »

À la table de C à vous, ce jeudi 27 mai, Alessandra Sublet s’est confiée sur ses « mensonges » en début de sa carrière, pour obtenir un stage à MTV, à New York.

A propos de


  1. Alessandra Sublet

Pour réussir à faire sa place, une bonne dose de culot est souvent nécessaire. Et ce n’est pas Alessandra Sublet qui dira le contraire. En promotion pour son nouveau livre, J’emmerde Cendrillon (Robert Laffont), l’animatrice de 44 ans s’est confiée sur son début de carrière, dans le studio de C à vous, ce jeudi 27 mai. L’occasion pour l’ancienne hôte de l’émission de raconter une anecdote cocasse, suscitant l’hilarité du plateau. Alors jeune journaliste, Alessandra Sublet n’a pas hésité à « bidonner son CV », selon les termes d’Anne-Elisabeth Lemoine, pour obtenir un stage à MTV, à New York. « Qu’est-ce que j’avais à perdre au milieu de ces Ricains qui m’ont appris tant de jolies choses ? Ça a marché ! Le culot, ce n’est pas que de la malpolitesse », a-t-elle réagi, évoquant des « mensonges qui ne font pas de mal aux autres ».

Ambitieuse, Alessandra Sublet a vite compris qu’en ne prenant pas les devants, quelqu’un d’autre le ferait « à [sa] place ». Pour pouvoir s’envoler sur la côte est américaine, la jeune journaliste n’a pas juste inventé de fausses compétences en anglais. Comme elle l’a raconté dans les colonnes de Paris Match, la native de Lyon a aussi fabriqué une fausse carte de sécurité sociale. Des petits arrangements avec la réalité qui lui ont coûté cher : ni une, ni deux, la stagiaire de MTV est « rapatriée de force vers Paris, à cause de son infraction culottée », relate l’hebdomadaire.

Une nouvelle vie sous le soleil

Animatrice accomplie, Alessandra Sublet mène sa vie tambour battant, en incarnant plusieurs émissions sur TF1. En privé, cette mère de deux enfants a pris une décision radicale : fini Paris, la journaliste a posé ses valises dans le sud de la France, laissant sa fille Charlie et son fils Alphonse à leur père, son ex-mari Clément Miserez. Un besoin de se retrouver seule que la principale intéressée assume à 100 %. « Je vais vivre ma vie et la liberté de venir une semaine sur deux avec eux, sachant qu’ils ont la liberté de venir quand ils le souhaitent », a-t-elle affirmé, à la mi-mai, dans un entretien accordé à Elle.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias.

Crédits photos : Capture d’écran France 5

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