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VIDÉO – Affaire Patrick Poivre d’Arvor : « Quelque chose d’assez industrialisé » selon le journaliste du Parisien
Dans C à Vous ce vendredi 19 février, Benoît Daragon se confie sur la plainte ciblant Patrick Poivre d’Arvor, annoncée la veille dans les colonnes du Parisien. Une enquête pour « viols » a été ouverte à son encontre.
A propos de
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Patrick Poivre d’Arvor
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Florence Porcel
Si Patrick Poivre d’Arvor dément catégoriquement l’accusation de viols de Florence Porcel, relayée par Le Parisien ce jeudi 18 février, le journaliste médias du quotidien Benoît Daragon décrit un phénomène « assez industrialisé » dans C à Vous ce vendredi 19 février. « Il invitait régulièrement des jeunes femmes dans son bureau, elles assistaient au 20 heures après elles montaient dans son bureau où il avait régulièrement des relations sexuelles », raconte-t-il. Des relations consenties. Constat effectué lors de sa propre enquête auprès de journalistes de la première chaîne. « C’était quelque chose d’assez industrialisé, c’était quand même très fréquent. » Selon lui, dans les couloirs de TF1, la réputation de l’ex-présentateur emblématique aurait été bien connue.
« C’est la première fois qu’il y a une affaire de viol concernant Patrick Poivre d’Arvor », poursuit Benoît Daragon, faisant référence au récit de l’écrivaine. Et d’ajouter : « après il a très mauvaise réputation auprès des journalistes et dans le monde dans l’édition. » Dans son article révélé sur le site du Parisien ce vendredi 19 février, le journaliste fait part de témoignages accablants d’anciennes employées de la première chaîne de France. Prêt à répondre aux accusations de Florence Porcel avec une plainte pour dénonciation calomnieuse, le mis en cause veut en faire de même avec une seconde plainte à l’encontre du quotidien pour diffamation publique. L’une auprès du parquet de Nanterre, l’autre auprès de celui de Paris.
« PPDA est révolté »
Pour lui, le témoignage de Florence Porcel n’est, ni plus ni moins, qu’une « dénonciation calomnieuse, aussi mensongère qu’inspirée par une quête de notoriété inconvenante », comme l’a fait savoir son avocat à BFMTV. « PPDA est, à cet égard, révolté par la manière dont on cherche à l’instrumentaliser pour assurer la promotion d’un roman. » Présumé innocent des faits – en partie prescrits – qui lui sont reprochés, Patrick Poivre d’Arvor aurait été la source d’inspiration d’un livre titré Pandorini, écrit par son accusatrice. Dans celui-ci, elle raconte l’histoire d’une jeune comédienne en devenir et de sa relation sous emprise avec un acteur, « monstre sacré du cinéma et prédateur sexuel. » Une expérience personnelle qu’elle aurait détournée en fiction.
Crédits photos : Capture France 5
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