VIDÉO – Affaire Duhamel : Pascal Praud très remonté contre ceux qui savaient et qui n’ont rien dit

Alors que l’affaire Kouchner-Duhamel fait les gros titres, Pascal Praud s’est une nouvelle fois insurgé ce jeudi 14 janvier sur CNEWS contre ceux qui avaient eu vent des abus du politologue et ont préféré se terrer dans le silence.

A propos de

  1. Pascal Praud

  2. Olivier Duhamel

  3. Camille Kouchner

Depuis la parution de son livre La Familia Grande (Éd. du Seuil) le 7 janvier dernier, Camille Kouchner n’en finit plus de faire couler de l’encre. Et pour cause ! Si la jeune femme accuse son beau-père, le politologue Olivier Duhamel, d’avoir abusé sexuellement de son frère jumeau alors qu’il était adolescent, elle pointe également du doigt le silence de son entourage. Une omerta qui a profondément choqué Pascal Praud, qui a fait part de sa colère sur le plateau de CNEWS ce jeudi 14 janvier.

Alors que la fille de Bernard Kouchner assure que « beaucoup de gens savaient« , le présentateur phare de CNEWS a déploré que « tout le monde se taise » dans cette affaire, et ce, alors que « tout le monde savait plus ou moins« . Dépité, Pascal Praud regrette que l’élite bourgeoise de gauche, vraisemblablement au fait des accusations qui pesaient sur Olivier Dumamel, n’ait pas pris la parole, certains contribuant même à la promotion sociale de celui qui était « le roi partout« .

« Tout le monde le savait plus ou moins », @PascalPraud à propos des déclarations de Camille Kouchner dans #HDPros pic.twitter.com/4rmRdMzw7X

Le réseau d’Olivier Duhamel pointé du doigt

Des propos quelque peu nuancés par Ariane Chemin, grand reporter au Monde, qui, invitée sur le plateau de C Politique ce dimanche 10 janvier, a tenu à mettre les points sur les i. « Elle a l’impression que tout le monde savait, heureusement, tout le monde ne savait pas. Mais je dois dire qu’entre le moment où j’ai écrit cet article et aujourd’hui, je n’avais pas mesuré l’étendue de ce réseau qui était au courant (…) Il y a savoir et savoir, il faut faire très attention », a-t-elle rappelé. Et de conclure : « Parce qu’on peut entendre une rumeur, et c’est justement le rôle du journaliste de vérifier ces rumeurs, car trois fois sur quatre, elles sont fausses. Il faut aussi éviter ce genre de procès (…) Mais il y avait effectivement beaucoup de gens qui avaient entendu l’affaire arriver à leurs oreilles« .

Crédits photos : CNEWS

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