Véronique Jannot : brisée par la perte de son compagnon !

La comédienne vient une nouvelle fois d’être durement frappée par le malheur et le deuil.

C’était son complice, celui avec lequel elle oubliait tout… Quand on les voyait ensemble, il y avait quelque chose de lumineux, une incroyable osmose, comme si chacun sentait exactement ce que l’autre ressentait, comme s’ils étaient unis par un invisible lien. Il n’existe plus que dans le cœur brisé de Véronique. L’actrice vient d’être une nouvelle fois frappée par le malheur. Ce nouveau deuil a-t-il réveillé son ancienne douleur ? On s’en souvient, en 1987, elle avait vécu le pire des drames.

Cette année-là, son compagnon, le pilote de Formule 1 Didier Pironi, trouvait la mort lors d’une course de bateaux offshore. Elle avait mis du temps à faire son deuil, avait ensuite retrouvé l’amour dans les bras de Laurent Voulzy pendant une dizaine d’années, puis une philosophie de vie dans le bouddhisme. Mais le grand pilier de sa vie depuis très longtemps est son amour pour les chevaux. Elle montait enfant et avait arrêté à la suite d’une chute.

À la fois son ami, son confident, son complice, son amour

Il y a une trentaine d’années, Mario Luraschi, le dresseur de chevaux pour le cinéma, lui a redonné le goût de l’équitation et des chevauchées en liberté. Dans France Dimanche, en 1999, elle déclarait : « Un cheval qui entre dans votre vie est un cadeau. Il devient votre ami, votre confident, votre complice, peut-être même votre amour. » Dans l’émission 30 Millions d’Amis, il y a quatre ans, elle avait présenté son « amour » : Alboroto. Elle le rejoignait, chaque semaine au centre de formation équestre de Fontaine-Chaalis, dans l’Oise. « J’adore monter à cru. C’est génial de pouvoir faire ça avec lui parce que c’est une vraie émotion. Je le sens. Je sens sa respiration, je sens sa chaleur. C’est magique. »

“Dans mon cœur à jamais…”

La magie s’est arrêtée. Alboroto est mort de vieillesse. Le 29 août, Véronique, bouleversée, a posté sur Instagram une vidéo d’elle et lui en balade dans la forêt, et l’a accompagnée de ces mots : « Mon merveilleux compagnon s’en est allé en me laissant les plus beaux souvenirs qui soient. Dans mon cœur à jamais.« 

JEAN MARC

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