« Un peu Calimero… » : Emmanuelle Devos complexée par sa voix

Invitée de l’émission En aparté sur Canal + ce lundi 24 avril, Emmanuelle Devos a fait une étonnante confession sur sa voix puisque l’actrice a avoué qu’elle était autrefois source de complexe.

Emmanuelle Devos était l’invitée, ce lundi 24 avril, de l’émission En aparté, sur Canal +, à l’occasion de la diffusion, quelques minutes plus tard sur la même chaîne, du premier épisode de la série BRI dans laquelle elle campe la commissaire Ferracci. La journaliste Nathalie Levy, qui donne sa voix au programme dans lequel les célébrités interviewées déambulent seules dans un appartement, a profité de la présence de l’actrice de 58 ans pour la questionner sur sa voix si caractéristique.

« Votre voix, elle est très identifiée mais je crois que vous n’avez pas toujours été les meilleures amies« , a ainsi demandé notre confrère à son invitée. « Ah oui, non : pas du tout », a aussitôt confirmé Emmanuelle Devos. Et de préciser : « Je trouvais que j’avais une voix de Calimero. J’avais une voix un peu sans timbre. » « L’avantage, en vieillissant, c’est que ça se remplit un peu et maintenant, je peux m’écouter« , a-t-elle nuancé avant de confier s’être, dans un premier temps, « détestée ». « Tous les acteurs détestent leur voix », a-t-elle alors relativisé, avant de préciser : « Pendant un certain temps du moins… » « C’est quelque chose qu’on a du mal à apprivoiser, sa propre voix », a finalement confessé la comédienne doublement césarisée.

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Un travail sur la voix pour son rôle dans BRI

« J’ai un peu changé ma voix justement », a-t-elle confié, quelques minutes plus tard, toujours sur le plateau d’En aparté alors qu’elle décrivait son travail de composition pour rentrer dans la peau de la commissaire Ferracci, pour la série BRI. « J’ai travaillé avec ma voix, elle est un peu à l’italienne », a précisé Emmanuelle Devos tout en joignant l’action à la parole puisque la comédienne a alors, subitement, effectué ce changement de tonalité en guise de démonstration.

Article écrit en collaboration avec 6Medias.

Crédits photos : Capture d’écran Canal +

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« J’avais un complexe, c’était ma taille. Je suis relativement petite, on s’est moqué un peu de moi quand j’étais plus jeune. Avec l’âge, ça m’est vite passé. Et puis je peux me permettre de porter des talons super mega hauts quand j’en ai envie », avait-elle avoué aux Eclaireuses.

« Moi je voulais être Vanessa Paradis, si cool avec ses jeans et ses T-shirts décolletés, mais j’étais Céline, grande, maigre, les dents de travers, boutonnée jusqu’au menton… c’est drôle d’ailleurs, je me rends compte que plus je vieillis, plus je me découvre », avait-elle confié au Elle. Avec le temps, l’artiste assure s’être transformée « sans l’aide de la chirurgie » mais simplement en arrangeant sa « dentition ».

« Vous savez, il y a un vieux proverbe qui dit que les cicatrices sont comme des tatouages, mais avec des histoires plus intéressantes », avait-il confié à Thierry Ardisson en 2017.

Il lui arrive donc de « rentrer le bide comme tous les quarantenaires. Je rentre les bourrelets, je suis souvent en apnée », avait-il a voué au micro de la radio MFM.

« Je n’ai jamais vraiment remarqué qu’il avait une voix aigue. Je crois surtout qu’il est tellement parfait que les gens essaient absolument de trouver quelque chose qui ne va pas chez lui », avait confié son épouse Victoria.

« C’est sûr que je n’ai pas un nez de cinéma », avait-elle confié dans le Elle. Plus jeune, son grand-père lui avait fait une drôle de proposition : « Le matin de mes dix-huit ans, mon grand-père s’est assis à côté de moi et m’a dit « Pour ton anniversaire, je vais t’offrir une opération du nez ».

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