"Transformé", "docile", "farfelu"… Le prince Harry est le pantin de Meghan Markle selon sa biographe

Dans un éditorial publié dans le Sunday Telegraph, la biographe du prince Harry, Angela Levin, fait part de son désabusement quant au petit-fils d’Élisabeth II, le décrivant sous l’emprise de son épouse Meghan.

Alors que le premier anniversaire du «Megxit» a lieu ce mois-ci, la journaliste britannique Angela Levin, auteure d’une biographie officielle sur le duc de Sussex parue en 2018, a publié le dimanche 3 janvier une tribune au vitriol sur le prince Harry dans les colonnes du journal The Sunday Telegraph. Manifestement déçue par les récents choix du frère de William, elle n’hésite pas à pointer du doigt l’influence négative de son mariage avec Meghan Markle dont il a adopté «docilement» les manières, «s’effaçant volontiers derrière elle».

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« Sa transition californienne est bien avancée »

Intitulé Comment l’Amérique a changé le prince Harry, l’article revient sur le départ des Sussex pour mener des carrières indépendantes aux Etats-Unis. Dans son édito, Angela Levin affirme que le père d’Archie est «devenu l’ombre du prince que je connaissais autrefois». L’écrivain assure que Henry de Sussex était auparavant «accessible», «connecté aux gens de tout âge et de tout type». «Il semble avoir abandonné sa vie d’homme d’action pour devenir un bienfaiteur farfelu», ajoute-t-elle, l’accusant de «suivre humblement» les manières «éveillées» de son épouse.

Parmi les «transformations» du prince Harry, elle évoque ses nouvelles tournures de langage, mises en évidence il y a quelques jours dans le nouveau podcast des Sussex, Archewell Audio. Elle est ainsi ulcérée de découvrir que le prince Harry a même changé d’accent pour «s’adapter» au langage de la côte ouest américaine, affirmant que «sa transition californienne est bien avancée».

Angela Levin s’en prend également aux contrats signés par le couple – notamment avec Netflix et Spotify – dans lesquels elle voit une forme d’indécence insupportable «à l’heure où des centaines de milliers de gens se voient basculer dans la précarité», écrit-elle. La journaliste s’interroge enfin sur le désir de Harry de «renouer avec les organismes de bienfaisance qu’il soutenait autrefois», tout en souhaitant «récupérer ses titres militaires honorifiques». Avant de conclure, avec froideur : «Ou peut-être se rend-il simplement compte que la royauté est éternelle, mais pas la célébrité».

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