TPMP : Cet ex chroniqueur victime de harcèlement par une star !

Invité sur Non Stop People, Fabien Lecoeuvre est revenu ce week-end sur le cyber-harcèlement dont il a été victime de la part de Michel Polnareff.

Fabien Lecoeuvre est un passionné de chanson française. L’ex chroniqueur de « Touche pas à mon poste! » l’a prouvé à travers sa riche carrière aussi bien lorsqu’il était chroniqueur chez Patrick Sébastien que par le biais de ses nombreux ouvrages consacrés à ce domaine de prédilection. Il a également travaillé avec de nombreux artistes prestigieux tels que Claude François ou encore Michel Polnareff. Et force est de reconnaître que sa collaboration avec ce dernier ne s’est pas terminée de la meilleure des manières.

Invité de l’émission « Good Morning Week-en » sur Non Stop People, Fabien Lecoeuvre est revenue sur les turbulences de leur relation : « Il y a eu beaucoup de disputes, beaucoup de réconciliations. C’est fait de mariages et de divorces. En même temps, c’est un peu normal. Toutes ces stars comme ça sont très cyclothymiques », a-t-il confié. Mais celui qui a commencé en tant qu’attaché de presse s’est également confié sur un épisode plus sombre qu’il a connu avec l’interprète de « Lettre à France ».

« J’ai eu une forme de cyberharcèlement avec lui. À partir du moment où j’ai arrêté de travailler avec lui, il a commencé à m’envoyer des piques un peu sur ses réseaux sociaux. Comme tous ces grands artistes, il a comme ça, ce qu’on appelle des fans autour de lui, qui le suivent, il y a 30 000, 40 000 personnes, 100 000 personnes. Il expliquait que je n’avais été ni son attaché de presse, ni son agent, ni même personne. C’est à peine s’il me connaissait », a-t-il lâché. Une situation délicate d’autant qu’il a beaucoup oeuvré avec l’artiste. « C’est difficile, je n’allais pas sortir tous mes contrats que nous avons co-signés ensemble en qualité d’agent, d’attaché de presse, de directeur de com’ ou même de représentant légal. » a-t-il déploré.

Fabien Lecoeuvre est finalement parvenu à mettre un terme à cet harcèlement grâce aux directions des réseaux sociaux qui ont menacé les propriétaires de ces comptes outranciers de les suspendre. « Ça peut être très dangereux. On n’est pas à l’abri d’un type à la John Lennon qui vous tire dessus avec un pistolet » a-t-il indiqué, soulagé que cette affaire soit désormais derrière lui.

THL

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