Tonya Kinzinger : la comédienne de 55 ans pourrait perdre son pied !

Dans un entretien accordé à Télé 7 jours ce lundi 14 août 2023, Tonya Kinzinger a donné des nouvelles de son pied après son grave accident. Plusieurs mois après, la comédienne de 55 ans ne se montre pas vraiment rassurante d’autant plus que les chirurgiens ne savent même pas s’ils vont "pouvoir sauver" son pied…

Parfois, les blessures qui semblent les plus bénignes peuvent s’avérer être les plus graves, comme le démontre Tonya Kinzinger. En effet, cette comédienne bien connue pour son rôle dans la série Sous le soleil a été victime il y a un an d’un grave accident lors d’une danse pour le tournage de la web-série Qui dansera avec les stars ?.

Cet accident a brisé son pied en « mille morceaux »et l’a même contrainte à suspendre le tournage de Sous le soleil. Plusieurs mois après cette période difficile qu’elle a traversée, la partenaire d’Adeline Blondieau dans la série diffusée sur France 2 a donné des nouvelles à nos confrères de Télé-Loisirs. Lors d’un entretien en juillet 2023, l’actrice de 55 ans a rappelé à quel point « cela a été extrêmement douloureux ». Elle a poursuivi en mentionnant que lors de l’opération chirurgicale, le chirurgien ne savait pas s’il pourrait récupérer son pied, et elle a noté que la douleur persistait.

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Tonya Kinzinger, peu rassurante au sujet de son pied, près d’un an après sa blessure

Bien qu’elle soit consciente de sa chance de pouvoir marcher, elle ignore si elle pourra « retrouver la capacité de danser ». Un mois après cette déclaration, Tonya Kinzinger n’apporte toujours pas de réconfort. En effet, ce lundi 14 août, l’ancienne candidate de Danse avec les stars s’est confiée à nos confrères de Télé 7 jours au sujet de son personnage de Janet dans Sous le soleil, et  a établi un lien avec sa grave blessure.

« Je crois que pour Janet, mon personnage, les joggings sur la plage, c’est fini ! Idem pour le port de talons, car j’ai dû passer aux baskets », a-t-elle déploré avant d’admettre : « je souffre toujours énormément et, quasiment un jour sur deux, je fais de la rééducation ». Même si elle ne veut pas se laisser « aller au défaitisme », elle révèle malgré tout que les  chirurgiens qu’elle a consultés ne « savent pas s’ils pourront sauver [son] pied »

Cette période difficile, toujours marquée d’incertitudes, affecte son moral, mais ne l’empêche pas, malgré tout, de conserver sa confiance et de continuer à avancer.

R.F

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