Tom Leeb (Plan B) : ce job insolite qu’il a effectué pour payer son école aux Etats-Unis

Actuellement à l’affiche de Plan B, série diffusée sur TF1, Tom Leeb s’est battu pour parvenir à embrasser la carrière d’artiste. Aux Etats-Unis, le comédien a joué de son physique avantageux pour pouvoir payer son école des arts du spectacle.

Tom Leeb

Tom Leeb n’est pas que le fils de son père, c’est également un artiste touche à tout. C’est en tout cas le message qu’il souhaite transmettre à chacune de ses apparitions médiatiques. Car cet artiste polymorphe, qui n’a pas choisi entre musique, comédie et humour, essaie de se débarrasser de deux étiquettes particulièrement abrasives : celle de « fils de » mais aussi du beau gosse qui doit sa carrière à son seul physique avantageux. Pour cela, il peut compter sur le soutien de sa partenaire à l’écran, la sémillante Julie de Bona, avec qui il partage l’affiche de Plan B, actuellement diffusé sur TF1. « Tom est un gentleman, il est délicat, élégant, drôle… C’est quelqu’un de profondément gentil. Quelqu’un de rare. Sa beauté impressionne au début et ensuite, on veut devenir son amie », loue-t-elle dans un portrait consacré au jeune homme dans Femme Actuelle.

Mannequin torse nu chez Abercrombie

Des qualités auxquelles il faut ajouter la persévérance puisque celui qui a failli représenter la France à l’Eurovision a pris son destin en main très tôt. A 18 ans, Tom Leeb s’est envolé pour New York afin d’intégrer un école privée des arts du spectacle et effectuer ses gammes. « J’ai été livré à moi-même assez jeune, à 7.000 kilomètres de ma famille. Cela m’a rendu responsable, mature, débrouillard. J’ai très vite appris la vie, compris la notion de l’argent », explique-t-il au sujet des plus belles années de sa vie. Et pour pouvoir payer les frais de scolarité, il n’a pas hésité à enchaîner les petits boulots. « J’ai bossé dans un resto, et puis j’ai fait des choses un peu illégales en travaillant un peu au black”, se souvient-il, même si là aussi son joli minois lui a bien servi : « J’ai aussi travaillé au magasin Abercrombie, où j’étais placé à l’entrée ». Une époque où ses pectoraux étaient la meilleure ligne de son CV…

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