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« Tes images, c’est de la merde » : ce jour où Karine Baste-Régis s’est fait rabrouer par son mentor
Au micro d’Europe 1, Karine Baste-Régis, le joker d’Anne-Sophie Lapix sur France 2, s’est confiée sur ses débuts journalistiques difficiles en Martinique.
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Karine Baste-Régis
Elle est désormais l’un des visages les plus importants du PAF. Joker d’Anne-Sophie Lapix sur le 20 Heures de France 2, Karine Baste-Régis a su affirmer sa personnalité. « Je suis juste foncièrement moi-même. J’adore mon boulot, je m’implique à fond, je suis hyper rigoureuse. Pour autant, pour moi, tout est simple, factuel, sans pression. C’est vrai que ça détonne« , a révélé la journaliste au micro de Philippe Vandel, sur Europe 1, ce 15 février. Contrairement à sa consoeur de TF1, Anne-Claire Coudray, la présentatrice de France 2 a décidé de prendre le contre-pied en ne regardant pas les audiences. « Ce n’est pas ma préoccupation. Cela ne veut pas dire que je ne m’intéresse pas au fait qu’on nous regarde », explique-t-elle.
Jamais prompte à se prendre trop au sérieux, Karine Baste-Régis, qui répond désormais au surnom de KBR, s’est également confiée sur ses débuts journalistiques sur la chaîne RFO Martinique (devenue Martinique la 1ère), comme journaliste reporter d’images. « J’avais la grosse caméra à l’époque, avec le gros pied, très lourd, et j’allais tourner seule », se souvient l’ancienne reporter. Et pendant ses années de formation, Alain Petit, le futur rédacteur en chef de la chaîne, lui a fait des réprimandes : « Tes images, c’est de la merde« .
« Il a été le seul à oser me dire ‘Ce n’est pas bon' »
Une remarque dure que Karine Baste-Régis applaudit aujourd’hui. « Je ne le remercierai jamais assez parce que je suis très exigeante et très pointilleuse. J’ai commencé à tourner en Martinique, avant ça, j’avais tourné à Nice, et je m’adaptais difficilement à la lumière et la température de couleurs », raconte-t-elle. Peu rancunière, elle le remercie de l’avoir forcée à s’améliorer. « Il a été le seul à oser me dire ‘Ce n’est pas bon’. Il s’est permis de me le dire comme ça, non pas parce qu’il parle mal aux gens, mais parce qu’on avait un rapport très franc et spontané », ajoute Karine Baste-Régis. « Je lui ai dit : ‘Merci Alain, tu ne me le diras plus jamais’.«
Crédits photos : Capture d’écran – France 2
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