« Si le prince Philip était mort plus tôt… » : la défense osée de Pierre-Jean Chalençon

Dans un entretien accordé à Ici Paris ce mercredi 28 avril, Pierre-Jean Chalençon est revenu sur le scandale des dîners clandestins. L’homme d’affaires en a profité pour se défendre en citant les funérailles du prince Philip.

A propos de


  1. Pierre-Jean Chalençon

Depuis la diffusion d’un reportage de M6 début avril, l’affaire des repas clandestins a provoqué un véritable séisme, impliquant différentes personnalités. Pierre-Jean Chalençon, propriétaire du palais Vivienne où plusieurs dîners ont été organisés, est revenu sur les événements dans Ici Paris, ce mercredi 28 avril. L’homme d’affaires l’affirme, « cela fait des mois que je n’ai pas organisé de soirées ici. Quand j’invite des copains, ils sont maximum trois ». Agacé d’avoir été présenté comme quelqu’un qui organise des soirées, alors que la crise sanitaire paralyse tout le pays, Pierre-Jean Chalençon estime avoir été victime d’une tentative d’assassinat médiatique.

Selon Pierre-Jean Chalençon, les faits, qui ont « fait pschitt », n’auraient pas eu le même effet s’ils avaient été révélés à quelques jours d’intervalle. « Si le prince Philip état mort une semaine plus tôt, on n’en aurait pas parlé », lance le collectionneur, alors que le duc d’Édimbourg s’est éteint le 9 avril. En effet, la mort de l’époux d’Elizabeth II et ses funérailles, diffusées le 17 avril par la BBC, ont monopolisé la presse et une bonne partie du monde tout au long du mois.

« Cette histoire m’a complètement dépassé »

L’affaire des repas clandestins avait pris un tournant politique lorsque Pierre-Jean Chalençon a affirmé qu’il dînait régulièrement avec des ministres. Des propos sur lesquels il était ensuite revenu, affirmant qu’il s’agissait d’un poisson d’avril. « C’était de l’humour. Quand j’ai raconté ça, je n’ai pas dit que c’était des ministres en exercice ! », précise le spécialiste de Napoléon Bonaparte à Ici Paris. Alors qu’il a été confronté aux forces de l’ordre lors d’une rencontre qu’il qualifie de « déposition » à la suite d’une perquisition du palais Vivienne, l’homme d’affaires explique que cette histoire l’a complètement dépassé. « S’attaquer à des gens qui défendent le patrimoine et qui veulent s’en sortir, je trouve ça très méchant et insultant ! »

Article écrit en collaboration avec 6Medias.

Crédits photos : Romain Doucelin / Bestimage

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